ISSN:
1420-911X
Quelle:
Springer Online Journal Archives 1860-2000
Thema:
Medizin
Beschreibung / Inhaltsverzeichnis:
Résumé Le développement technique permet de réduire la fumée des moteurs diesel modernes à tel point qu'ils ne suscitent pour ainsi dire plus de réclamations. Pour les grandes distances, cependant, il faut exiger comme «conditio sine qua non» un service soigné et régulier du moteur. La teneur en CO ne joue pratiquement aucun rôle pour le moteur diesel, sauf dans le cas des travaux souterrains. Le seul inconvénient des aldéhydes consiste en leur odeur et il me semble — sans vouloir mettre en cause des avis médicaux — qu'il ne s'agisse là que d'un défaut secondaire. Le NO et le NO2 sont certainement plus dangereux. Le NO a une grande affinité envers l'hémoglobine et provoque ainsi un manque d'oxygène dans le sang. Le dioxyde d'azote (NO2) et l'eau forment l'acide azotique. Ceci est le cas lorsque le NO2 entre dans les poumons; si la concentration en NO2 est assez élevée, des inflammations peuvent se produire dans le système respiratoire. C'est probablement le système de combustion qui influence la concentration d'oxyde d'azote; nos expériences personnelles, quoique très limitées encore, indiquent que le moteur à injection directe serait plus défavorable que le moteur à chambre de précombustion. A notre connaissance, un peu trop de bruit a été fait autour de la benzopyrène 3,4. D'après les investigations de l'Institut Battelle à Francfort il faut s'attendre à une teneur considérable en benzopyrène lorsque les pressions moyennes du moteur sont très élevées; mais les connaissances dont on dispose dans ce domaine sont loin d'être complètes.
Notizen:
Zusammenfassung Das Rauchen moderner Dieselmotoren kann durch Konstruktion und Entwicklung auf ein Maß beschränkt werden, welches zu keinerlei Beanstandungen zu führen braucht. Für den Betrieb über lange Laufstrecken muß aber als conditio sine qua non genannt werden, daß eine ordnungsgemäße Pflege des Motors grundsätzlich durchgeführt werden muß. Der CO-Gehalt spielt beim Dieselmotor praktisch überhaupt keine Rolle, lediglich im Untertagebetrieb. Die Aldehyde wirken sich nur als Geruchsbelästigungen aus und dürften wohl, aber hier möchte ich den Medizinern nicht vorgreifen, mehr oder weniger nur ein Schönheitsfehler sein. Bedenklicher sind sicher die Stickoxyde, die als NO oder als NO2 auftreten. Eingeatmetes Stickstoffmonoxyd NO hat eine Affinität zum Hämoglobin und bewirkt dadurch einen Sauerstoffmangel im Blut. Stickstoffdioxyd NO2 setzt sich mit Wasser in Salpetersäure um. Das tritt beim Einatmen von NO2 in die Lunge ein und kann wohl bei entsprechend hoher Konzentration zu Entzündungen im Atmungssystem führen. Die Höhe der Stickoxyd-Konzentration wird offensichtlich durch das Verbrennungsverfahren beeinflußt, wobei nach unseren, wenn auch noch sehr geringen Untersuchungen, der Direkteinspritzmotor schlechter zu sein scheint als der Vorkammermotor. Um das 3,4-Benzpyren ist unserer Kenntnis nach ein bißchen zu viel Geschrei gemacht worden. Nach den Untersuchungen des Battelle-Instituts in Frankfurt ist mit einem nennenswerten Benzpyren-Gehalt zu rechnen, wenn der Motor mit sehr hohen Mitteldrücken betrieben wird; die Erkenntnisse auf diesem Gebiet sind aber noch sehr lückenhaft.
Materialart:
Digitale Medien
URL:
http://dx.doi.org/10.1007/BF02031784
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