ISSN:
1436-5073
Source:
Springer Online Journal Archives 1860-2000
Topics:
Chemistry and Pharmacology
Description / Table of Contents:
Résumé (W) La méthode, établie parVohl, pour l'identification du soufre dans les substances organiques, reposant sur la réaction entre le potassium métallique fondu et la substance organique, a été utilisée récemment, parK. Bürger comme méthode quantitative micro-analytique. On relève les sources d'erreurs suivantes: 1° La possibilité de perte de H2S avant la réaction avec l'iode. 2° La possibilité de perte d'iode au moment où l'on introduit une solution carbonatee dans une solution d'iode fortement acide. 3° La rétention de l'iode par le charbon formé au moment de la destruction de la matière organique. Les causes d'erreur 1 et 2 d'une part et 1 et 3 d'autre part agissent en sens contraire sur les résultats, si bien que, par compensation totale, il est possible d'obtenir des valeurs exactes. Nous avons trouvé que, dans le cas de substances exemptes de carbone l'emploi d'un récipient à réaction à vide, à la place d'un erlenmeyer bouché, élimine les causes d'erreur 1 et 2. Pour les substances carbonées, par contre, cette mesure ne suffit pas, parce que, en évitant les erreurs 1 et 2, sans que pour cela les erreurs 3 soient touchées, celles-ci, non-compensées, sont d'autant plus marquées. Nous procédons de la manière suivante, au moment de la fusion au potassium, pour que, dans le cas de toutes les substances, il y ait compensation de toutes les erreurs: Le produit de réaction est traité par un acide, à l'abri de l'air; l'hydrogène sulfuré est entraîné à travers une solution d'acétate de cadmium et le sulfure de cadmium ainsi formé est dosé par iodométrie en prenant les précautions habituelles. On peut ainsi facilement faire une analyse en 30 minutes, avec une limite d'erreur, sur le soufre, de ± 0,2%. A part le dosage du soufre de constitution, il est possible de doser des traces de soufre (jusqu'à 0,05%), en introduisant de faibles modifications à la méthode de travail, mais cependant en utilisant le même appareil de distillation.
Notes:
Zusammenfassung Die vonVohl nur zumqualitativen Nachweis von Schwefel in organischen Substanzen angewandte Reaktion zwischen schmelzendem Kaliummetall und organischer Substanz hatK. Bürger auch als quantitative mikroanalytische Bestimmungsmethode benutzt. Als Fehlerquellen dieser Arbeitsweise wurden erkannt: 1. Die Möglichkeit des Entweichens von H2S vor dem Umsatz mit Jod. 2. Die Möglichkeit des Entweichens von Jod bei der Zugabe des carbonathaltigen Reaktionsgemisches zur stark sauren Jodlösung. 3. Das Zurückhalten von Jod durch die beim Aufschluß von Kohlenstoff enthaltenden Substanzen gebildete Kohle. 4. Der zusätzliche Verbrauch an Jod bei der Analyse vieler metallhaltiger Verbindungen, deren reduzierte Metallkomponente beim Eingießen in die saure Jodlösung ebenfalls Jod reduziert. Die Fehlerquellen 1 und 2 einerseits und 1 und 3 anderseits wirken sich auf das Resultat in entgegengesetztem Sinne aus, so daß bei völliger Kompensation trotzdem richtige Werte erhalten werden können. Wir fanden, daß bei kohlenstofffreien Substanzen die Anwendung eines Vakuumreaktionsgefäßes an Stelle eines verschließbaren Erlenmeyerkölbchens die hier in Frage kommenden Fehlerquellen 1 und 2 beseitigt (Ausnahme Fehlerquelle 4). Bei allen Kohlenstoff enthaltenden Substanzen dagegen genügt diese Maßnahme nicht, da sie ja nur die Fehlerquellen 1 und 2 vermeidet, so daß sich dann die Fehlerquelle 3 unkompensiert um so stärker bemerkbar macht. Wir verfahren deshalb nach dem Aufschluß mit Kaliummetall prinzipiell anders, um bei allen Substanzen diese Fehlerquellen sicher auszuschalten: Das Reaktionsgemisch wird unter Luftabschluß mit Säure zersetzt, der Schwefelwasserstoff in vorgelegte Cadmiumacetatlösung übergetrieben und das gebildete Cad niumsulfid unter bestimmten Vorsichtsmaßnahmen jodometrisch titriert. Es gelingt leicht, eine Analyse in etwa 30 Minuten mit einer Fehlergrenze von ± 0,2% S durchzuführen. Neben der Bestimmung von konstitutionell gebundenem Schwefel können auch Schwefelspuren (bis etwa 0,05%) bei geringfügiger Änderung in der Arbeitsmethodik, jedoch unter Anwendung derselben Destillationsapparatur, erfaßt werden.
Type of Medium:
Electronic Resource
URL:
http://dx.doi.org/10.1007/BF01413554
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