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    ISSN: 1432-2323
    Source: Springer Online Journal Archives 1860-2000
    Topics: Medicine
    Description / Table of Contents: Résumé On a étudié les mutations ponctuelles des gênes ras (K-, H-, et N-ras) au niveau des codons 12, 13 et 61 ainsi que des gênes Gi2α au niveau des codons 179 et 205 dans 56 tumeurs primitives et 6 cas d'hyperplasie de la corticosurrénale. Des 56 tumeurs, il y avait 24 cancers et 32 tumeurs bénignes. Les 24 cancers et 20 des tumeurs bénignes provenaient de patients d'origine américaine, alors que les autres tumeurs bénignes provenaient de patients japonais. Des tumeurs bénignes, 12 étaient des adénomes produisant le cortisol, 15 étaient des adénomes produisant l'aldostérone, 3 n'étaient pas sécretants et deux étaient des adénomes associés à un syndrome de virilisation. L'ADN tumoral obtenu sur des pièces par fixation à la paraffine et au formol a été amplifié par une réaction en chaîne polymérase et les mutations ponctuelles ont été détectées par la séquence spécifique d'hybridation d'oligonucléotides. Des mutations actives ont été retrouvées chez 7 parmi 56 (12.5%) tumeurs: 3 des 24 (12.5%) cancers et 4 des 32 (12.5%) adénomes. Parmi les adénomes de la population américaine, 4 sur 20 (20%) avaient des mutation ras+, alors qu'aucun des Japonais en avait. Toutes les mutations détectées étaient des substitutions d'adénine en guanine à la position du codon 61 N-ras, entrainant une conversion de glutamine en arginine. II n'y avait aucune mutation des gênes Gi2α. Ces résultats démontrent que les mutations N-ras au niveau du codon 61 peuvent être impliquées dans la genèse des tumeurs bénignes et malignes de la corticosurrénale. En revanche, aucune mutation des gênes Gi2α n'a été identifiée dans l'hyperplasie corticosur-rénale.
    Abstract: Resumen p Se estudiaron las mutaciones puntuales de los genes ras (K-, H-y N-ras) en los codones 12, 13 y 61 y del gen Gi2α en los codones 179 y 205 en 56 tumores adrenocorticales y en 6 hiperplasias suprarrenales. De los tumores, 24 eran carcinomas y 32 neoplasmas benignos. Los 24 carcinomas y 20 de los neoplasmas benignos eran de pacientes norteamericanos; los 12 adenomas restantes provenían de pacientes japoneses. Entre los tumores benignos, 12 eran adenomas productores de cortisol, 15 eran adenomas productores de aldosterona, 3 eran adenomas no funcionantes y 2 eran adenomas que habían producido un síndrome de virilización. El ADN obtenido tejido fijado en formol, contenido en bloques de parafina o fresco congelado, fue amplificado por medio de la reacción en cadena de la polimerasa y se procedió a detectar las mutaciones puntuales mediante hibridación de secuencia específica de oligonucleótidos. Se encontraron mutaciones ras activantes en 7 de 56 (12.5%) de la totalidad de los tumores: 3 de 24 (12.5%) carcinomas y 4 de 32 (12.5%) adenomas. Entre los adenomas de la población norteamericana, 4 de 20 (2%) exhibieron mutaciones ras positivas, en tanto que no se hallaron en los tumores de los pacientes japoneses. La totalidad de las mutaciones detectadas fueron transiciones adenina a guanina en la segunda posición del codón N-ras 61, resultante en la conversión de glutamina a arginina. No se hallaron mutaciones en los genes K-ras o H-ras; tampoco se identificaron mutaciones del gen Gi2α. Tales hallazgos demuestran que las mutaciones N-ras en el codón 61 pueden contribuir a la génesis de los tumores suprarrenales, tanto de los benignos como de los malignos. Finalmente, no se detectaron mutaciones de los genes Gi2α en los tejidos suprarrenales hiperplásicos.
    Notes: Abstract Point mutations of ras genes (K-, H-, and N-ras) at codons 12, 13, and 61 and of the Gi2α gene at codons 179 and 205, were studied in 56 primary adrenal cortical tumors and 6 adrenal cortical hyperplasias. Of 56 tumors, 24 were carcinomas and 32 were benign. The 24 carcinomas and 20 of the benign tumors were from American patients; the 12 remaining adenomas were from Japanese patients. Of the benign tumors 12 were cortisol-producing adenomas, 15 were aldosterone-producing adenomas, 3 were nonfunctioning adenomas, and 2 were adenomas that produced a virilizing syndrome. Tumor DNA obtained from archival formalin-fixed, paraffin-embedded tissue or fresh frozen tissue was amplified by polymerase chain reaction; and point mutations were detected by sequence-specific oligonucleotide hybridization. Activating ras mutations were found in 7 of 56 (12.5%) of all tumors: 3 of 24 (12.5%) carcinomas and 4 of 32 (12.5%) adenomas. Of adenomas from an American population, 4 of 20 (20%) exhibited positive ras mutations, whereas none was present in the Japanese tumors. All mutations detected were adenine to guanine transitions at the second position of N-ras codon 61, resulting in a conversion from glutamine to arginine. No mutations were found in K-ras or H-ras genes. Furthermore, no mutations of the Gi2α gene were identified. These findings demonstrate that N-ras mutations at codon 61 may contribute to the genesis of both benign and malignant human adrenal cortical tumors. Finally, no mutations of the ras or Gi2α genes were identified in hyperplastic adrenocortical tissues.
    Type of Medium: Electronic Resource
    Library Location Call Number Volume/Issue/Year Availability
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    ISSN: 1432-2323
    Source: Springer Online Journal Archives 1860-2000
    Topics: Medicine
    Description / Table of Contents: Résumé Les tumeurs à cellules de Hürtle (HCT) restent une entité difficle à traiter car, parfois, les tumeurs apparaissent bénignes en microscopie optique mais elles métastasent plus tard. Afin d'améliorer la précision diagnostique, l'intérêt des mutations ras et l'analyse d'ADN nucléaire ont été évalués chez 65 patients ayant une tumeur HCT. La cytométrie rapide (Micro-TICAS system) a été utilisée. Les mutations des gènes N-, K-, et N-ras ont été analysés après hybridation d'oligonucléotides afin de provoquer une réaction de polymérisation en chaîne (PCR) de l'ADN. Les HCT ont été classées en microscopie optique: 22 étaient des tumeurs bénignes, 30 étaient intermédiaires et 13 étaient malignes. Après un suivi moyen de 7 ans, une des 22 tumeurs HCT bénignes (4.5%) et 4 des 30 tumeurs intermédiares (13%) ont métastasé et ont entrainé le décès du patient dans 3 cas. Six des 13 patients chez lesquels le diagnostique de cancer a été établi en microscopie optique sont également décédés de leur cancer. L'aneuploïdie a été retrouvée dans 83% des cancers de HCT, y compris 60% des cancers non diagnostiqués en microscopie optique. Cependant, 49% des tumeurs non malignes étaient également aneuploïdes. Une surface nucléaire de moins de 55μ 2 a été retrouvée chez 83% des cancers de cellule de Hürtle et dans 100% de ceux non diagnostiqués en microscopie optique. Là encore, 47% des tumeurs bénignes avaient aussi une “petite” surface nucléaire. La découverte d'une aneuploïdie a correctement identifié 8 des 9 patients avec un cancer décédés de leur tumeur, et tous les patients qui ont dévelopé une métastase. Cependant un patient ayant une tumeur diploïde est décédé également d'un cancer métastatique. Chaque fois que la surface nucléaire était inférieure à 55μ 2, le patient est décédé de son cancer. Les mutations ras ont été retrouvées dans 9 des 65 (14%) tumeurs à cellules de Hürtle. On a retrouvé seulement des mutations N-ras, et 8 des 9 étaient des mutations N-ras, codon 61. Vingt-deux pourcent des cancers à cellules de Hürtle et 11% des HCT bénignes avaient des mutations ras (p=NS). Des mutations ras ont été retrouvées chez 2 des 5 (40%) cancers non reconnus en microscopie optique. Des quatre cancers ayant des mutations ras, 2 (50%) étaient responsables du décès du patient. Des 14 cancers ras négatifs, 7 (50%) des patients sont décédés. Nous concluons que les études de cytométrie ADN ne sont pas utiles pour séparer les tumeurs de Hürtle malignes des tumeurs bénignes. Cependant, une tumeur anaploïde et une surface nucléaire inférieur à 55μ 2 caractérisaient des tumeurs agressives et étaient associés avec le décès du patient. Il faut noter cepdendant, qu'un patient ayant un cancer diploïde est également décédé d'un cancer à cellules de Hürtle. Enfin, la présence de mutations ras est peu utile comme facteur pronostique.
    Abstract: Resumen Los tumores de células de Hürthle (TCH) siguen siendo difíciles de tratar debido a que algunos que aparecen como no metastásis. Con el objeto de mejorar la certeza dignóstica, se determinó el valor de las mutaciones ras y se efectuó el análisis de DNA nuclear en 65 pacientes con TCH; se practicó citometría rápida de DNA nuclear (sistema MicroTICAS). Las mutaciones de los genes N-, K- y N-ras fueron analizadas mediante técnica de hibridaciones con oligonuclótidos al DNA amplificado por reacción de polimerasa en cadena. El TCH fue clasificado por microscopía de luz como benigno en 22 casos; intermedio en 30 casos; y maligno en 13 casos. En un seguimiento promedio de 7 años, 1 de los 22 (4.5%) casos benignos y 4 de los 30 (13%) casos intermedios presentaron metástasis, dando como resultado muerte por el tumor en 3 de estos 5 pacientes. Seis de los 13 cánceres diagnosticados por microscopía de luz también resultaron en muertes relacionadas con el tumor. Se halló aneuploidia en 83% de todos los cánceres de células de Hürthle, incluyendo 60% de los tumores no diagnosticados microscópicamente. Sin embargo, 49% de los TCH también demostraron aneuploidia. Se encontró un área nuclear de menos de 55 micrones cuadrados en 83% de los cánceres de células de Hürthle y en 100% de aquellos cánceres no diagnosticados por microscopía de luz. Sin embargo, 47% de los TCH no malignos también exhibieron un área nuclear “pequeña”. La aneuploidia identificó correctamente a 8 de 9 cánceres que resultaron en muerte del paciente y a cada uno de otros tres que desarrollaron tumor metastásico. Un área nuclear de menos 55 micrones cuadrados identificó cada cáncer que resultó en muerte del paciente por tumor. Las mutaciones res fueron halladas en 9 de 65 (14%) de los tumores de células de Hürthle. Sólo se hallaron mutaciones N-ras, y ocho de 9 eran N-ras, codón 61. Veintidós por ciento de los cánceres de células de Hürthle y 11% de los TCH no malignos exhibieron mutaciones ras (p=N.S.). Las mutaciones ras fueron halladas en 2 de 5 (40%) de los cánceres no reconocidos por microscopía. De cuatro cánceres que exhibieron mutaciones ras, 7 (50%) resultaron en muerte por tumor. Nuestra conclusión es que los estudios de citometria de DNA nuclear no son de utilidad para la diferenciación de los neoplasmas benignos de células de Hürthle de los malignos. Sin embargo, la aneuploidia y un área nuclear de menos de 55 micrones cuadrados identifican claramente a aquellos cánceres que posiblemente puedan actuar de una manera agresiva y resultar en muerte por tumor. Se debe tener en cuenta, sin embargo, que un paciente con cáncerdiploide murió de cáncer metastásico de células de Hürthle. Finalmente, la presencia de mutaciones ras tiene una utilidad limitada como factor de pronóstico.
    Notes: Abstract Hürthle cell tumors (HCT) remain difficult to treat because some which appear non-malignant on light microscopy later metastasize. In order to improve diagnostic accuracy, the value of ras mutations and nuclear DNA analysis was determined in 65 patients with HCT. Rapid nuclear DNA cytometry (MicroTICAS system) was performed. Mutations of H-ras, K-ras, and N-ras genes were analyzed by oligonucleotide probe hybridizations to polymerase chain reaction (PCR) amplified DNA. HCT were classified by light microscopy as benign (n=22), intermediate (n=30), and malignant (n=13). After a mean follow-up of 7 years, 1 (4.5%) of 22 benign tumors and 4 (13%) of 30 intermediate tumors had metastasized, leading to tumor death in 3 of these 5 patients. Six of the 13 cancers diagnosed by light microscopy also resulted in tumor-related deaths. Aneuploidy was found in 83% of all Hürthle cell cancers, including 3 (60%) of the 5 cancers not diagnosed microscopically. However, 49% of non-malignant HCT also demonstrated aneuploidy. A nuclear area of less than 55 square microns was found in 83% of all Hürthle cell cancers and in 100% of those cancers not diagnosed by light microscopy. However, 47% of non-malignant HCT also demonstrated a “small” nuclear area. Aneuploidy correctly identified 8 of 9 cancers that resulted in tumor death and each of 3 other tumors that developed metastases. However, 1 patient with a diploid tumor died of metastatic cancer. A nuclear area of less than 55 square microns identified each cancer that resulted in a tumor death. Ras mutations were found in 9 (14%) of 65 Hürthle cell tumors. Only N-ras mutations were found, and 8 of 9 were N-ras, codon 61. Twenty-two percent of Hürthle cell cancers and 11% of non-malignant HCT exhibited ras mutations (p=N.S.) Ras mutations were found in 2 (40%) of 5 cancers which were not recognized microscopically. Of 4 cancers which exhibited ras mutations, 2 (50%) resulted in tumor death. Of 14 cancers that were ras negative, 7 (50%) resulted in death from tumor. We conclude that nuclear DNA cytometric studies are not useful in separating benign from malignant Hürthle cell neoplasms. However, aneuploidy and a nuclear area less than 55 square microns clearly demonstrate those cancers that are likely to act in an aggressive manner and result in tumor death. It should be noted, however, that one patient with a diploid cancer died of metastatic Hürthle cell cancer. Finally, the presence of ras mutations has limited usefulness as a prognostic factor.
    Type of Medium: Electronic Resource
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