ISSN:
1439-0574
Source:
Springer Online Journal Archives 1860-2000
Topics:
Agriculture, Forestry, Horticulture, Fishery, Domestic Science, Nutrition
Description / Table of Contents:
Summary Data about food selection of roe deer were collected between April and July 1972 in a prealpine area near Grabs in the eastern part of Switzerland. Grazing animals were directly observed and the plant-species eaten and rejected recorded. Out of a total of 149 species eaten, 95 were selected once or more than one time. A relationship between plant-species occurrence and acceptance by the roe deer is shown. A positive correlation was found between the frequency of acceptance of and the intensity of feeding on different plant-species. Data on 12 species were tested for changes in intensity of grazing over a 4 month period. OnlyPhyteuma spicatum was grazed with about the same intensity in each month. 6 species were preferred when they had flowers. For 3 plantspecies, a relationship between developmental stage and the eaten plant-part was shown. WhenPrimula elatior was blooming, roe deer preferred the flowers; later, leaves were eaten. The flowers were also the preferred part ofTrifolium repens; however the leaves ofAnemone nemorosa were mainly eaten. For estimating the proportion of the total diet consisting of each plant-species, we used only data taken from meadows. Over 50% of all bites made by the deer occurred onGeranium silvaticum, Traxacum officinale undPhyteuma spicatum. Observations of 2 marked animals indicated individual differences in food selection. From our results and those of other authors there appear to be certain species which are generally preferred (e.g.Rubus idaeus, Taraxacum officinale), and other species which are exclusively avoided (e.g.Colchicum autumnale). But for many species the degree of preference varies from habitat to habitat (e.g.Trifolium pratense and several grasses).
Abstract:
Résumé Dans la période d'avril jusqu' en juillet 1972 nous avons fait dans le district de chasse de Grabs Ost des observations concernant la sélection du fourrage du chevreuil. Nous avons observé les animaux directement pendant leur temps de pâturer. Ensuite nous avons enregistré d'un côté les espèces desquelles les chevreuils avaient mangé et de l'autre toutes les espèces existantes dans ce domaine. Sur un total de 149 plantes enregistrées, 95 ont été prises au moins une fois. Un tableau renseigne sur la constance des espèces et la constance de pâturer des 149 espèces de plante. Constance de pâturer et intensité de pâturer sont en correlation positive. D'une espèce souvent prise, les chevreuils en ont aussi mangé beaucoup. 12 espèces ont été examinées relativement à leur intensité de pâturer. Comme seule espèce,Phyteuma spicatum a été mordue avec une intensité à peu près conttante pendant chacun des mois de la période d'observation. Pendant leur floraison, 6 espèces ont été mordues davantage que prévu. Pour 3 espèces nous avons montré la relation entre le stade de développement de la plante et la partie de celle-ci qui a été mordue. Pendant la période de floraison dePrimula elatior, les chevreuils ont pâturé surtout les fleurs, après cette période surtout les feuilles; deTrifolium repens ont été préférées surtout les fleurs, deAnemone nemorosa par contre les feuilles. Pour l'évaluation de la partie pâturée ont été prises en consideration les espèces des prés. Plus de 50% des morsures ont été effectuées surGeranium silvaticum, Taraxacum officinale etPhyteuma spicatum. Nos observations de 2 chevreuils marqués semblent montrer qu'il existe des différences individuelles par rapport aux plantes préférées. Une comparaison avec les résultats d'autres auteurs nous a montré d'un côté qu'il y a des espèces qui sont décrites d'une manière uniforme dans leur signification en tant que plantes de fourrage (Rubus idaeus etTaraxacum officinale sont toujours préférés,Colchicum autumnale est toujours évité), de l'autre côté, beaucoup d'espèces montrent une attirance variable en tant que plantes de fourrage, par exempleTrifolium pratense et plusieurs sortes d'herbes.
Notes:
Zusammenfassung Von April bis Juli 1972 wurden im voralpinen Revier Grabs Ost Beobachtungen zum Futterwahlverhalten des Rehes ausgeführt. Die Rehe wurden beim Äsen direkt beobachtet und anschließend die am Äsungsplatz verbissenen und unverbissenen Pflanzenarten festgestellt. Von den 149 insgesamt notierten Pflanzenarten wurden 95 mindestens einmal verbissen. Eine Tabelle gibt Auskunft über Artstetigkeit und Verbißstetigkeit der 149 Arten. Verbißstetigkeit und Verbißintensität sind positiv korreliert. Die Rehe nahmen von einer regelmäßig verbissenen Pflanzenart auch viele Bisse. 12 Arten wurden auf unterschiedliche Beäsungsintensität hin geprüft.Phyteuma spicatum wurde als einzige Art in jedem Monat etwa gleich intensiv verbissen. 6 Arten wurden während ihrer Blütezeit mehr als erwartet geäst. Für 3 Arten ist die Beziehung zwischen Entwicklungsphase der Pflanze und abgebissenem Pflanzenteil gezeigt. VonPrimula elatior ästen die Rehe in der Voll-Blüte vor allem Blüten, in der Nach-Blüte Blätter; vonTrifolium repens wurden vor allem die Blüten, vonAnemone nemorosa hingegen die Blätter bevorzugt. Bei der Bewertung des Äsungsanteils wurden nur Arten des Futtergrünlandes (Glatthafer-und Goldhaferwiesen) berücksichtigt. Mehr als 50% aller Bisse entfielen auf die ArtenGeranium silvaticum, Taraxacum officinale undPhyteuma spicatum. Beobachtungen an zwei sichtmarkierten Rehen wiesen auf individuelle Unterschiede in der Wahl der Futterpflanze hin. Ein Vergleich mit Befunden anderer Autoren zeigte: Es gibt einerseits Arten, welche in ihrer Bedeutung als Äsungspflanzen einheitlich beschrieben werden. Durchwegs bevorzugt werdenRubus idaeus undTaraxacum officinale, stets gemieden wirdColchicum autumnale. Viele Arten zeigen andererseits unterschiedliche Beliebtheit als Äsungspflanzen, zum BeispielTrifolium pratense und mehrere Gräser.
Type of Medium:
Electronic Resource
URL:
http://dx.doi.org/10.1007/BF01904140
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