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  • 1
    Electronic Resource
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    Palo Alto, Calif. : Annual Reviews
    Annual Review of Medicine 47 (1996), S. 69-83 
    ISSN: 0066-4219
    Source: Annual Reviews Electronic Back Volume Collection 1932-2001ff
    Topics: Medicine
    Notes: Abstract Type-II (non-insulin-dependent) diabetes mellitus (NIDDM) is a heterogeneous disease resulting from insulin resistance and beta-cell dysfunction. beta-Cell dysfunction in Type-II diabetes is characterized by a specific lack of first-phase glucose-induced insulin secretion. This defect is readily reversible upon normalization of blood glucose levels. Chronic hyperglycemia itself is harmful to the beta-cell and affects both insulin biosynthesis and exocytosis. No unique intracellular defect has been demonstrated to be responsible for all common forms of the disease. However, mutations of the glucokinase gene have been identified in maturity onset diabetes in the young, a particular form of NIDDM.
    Type of Medium: Electronic Resource
    Library Location Call Number Volume/Issue/Year Availability
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  • 2
    Electronic Resource
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    Springer
    European journal of orthopaedic surgery & traumatology 7 (1997), S. 123-126 
    ISSN: 1432-1068
    Keywords: Allogreffe ; Tumeurs osseuses ; Prosthesis ; Allograft ; Hip reconstruction
    Source: Springer Online Journal Archives 1860-2000
    Topics: Medicine
    Description / Table of Contents: Résumé Les grandes prothèses de reconstruction ont été largement employées avec, à court et moyen terme, d'excellents résultats fonctionnels, mais avec le recul on s'aperçoit que, chez les sujets jeunes, elles posent souvent des problèmes mécaniques liés à la fragilité métallurgique de la prothèses et à l'absence de refixation musculaire sur sa partie métallique de reconstruction. L'allogreffe, de son côté, du fait de ses possibilités de réhabitation à distance, et plus immédiatement de la réinsertion musculaire rapide qu'elle autorise, va donner des résultats fonctionnels beaucoup moins alléatoires, bien qu'il plane encore certaines incertitudes concernant l'importance de la revascularisation du greffon, et son intégration au squelette. Ces techniques de prothèses manchonnées trouvent tout naturellement leurs indications en oncologique lors de l'exérèse de tumeurs, mais également en cas de chirurgie reconstructrice de l'extrémité supérieure du fémur, en dehors de toute lésion tumorale ou traumatique. 1) Biologie de l'allogreffe osseuse. L'étude immunologique des allogreffes osseuses confirme l'absence clinique de phénomènes de rejet décelables, même lors de l'utilisation de greffes massives. Les groupes HLA immuns qui peuvent apparaître ne sont pas spécifiques du greffon, mais le plus souvent li#x00E9;s aux transfusions sanguines utilisées conjointement. Cette notion capitale facilite les modalités de prélèvement et de conservation des greffons. En effet, l'on peut utiliser n'importe quelle allogreffe sans avoir besoin de comparer les groupages sanguins ni tissulaires du donneur et du receveur. Chez certains malades cependant des sérosités entourant l'allogreffe peuvent faire évoquer la possibilité d'une réaction immunologique mal précisée. Les études réalisées sur ce liquide ne permet pas de mettre en évidence de groupe HLA Immuns du donneur. 2) Étude de la forme optimale de la prothèse. Pour que l'ensemble prothèse mètallique-allogreffe de manchonnement puisse être considéré comme une poutre composite compacte, il faut que la forme de la prothèse soit parfaitement adaptée à la forme interne du greffon. La forme de la queue prothétique qui a été définie par la CAO est un ≪S≫ italique, dont la partie supérieure est courte, et la partie inférieure à long rayon de courbure. 3) Les modalités de fixation de la prothèse. A partir du moment où l'on envisage de manchonner une prothèse métallique par une allogreffe osseuse, et compte-tenu de l'absence de revascularisation profonde initiale de celle-ci, il nous paraît préférable de cimenter la prothèse dans l'allogreffe. Au niveau de la partie distale, placée dans l'os receveur, il faut la fixer solidement en la cimentant également pour obtenir une stabilité primaire et immédiate, en particulier dans le secteur de la rotation. Cette rotation est par ailleurs bloquée par la forme convexe de la queue de la prothèse. La section de l'allogreffe osseuse se fait à la demande en baïonnette permettant ainsi de choisir la longueur de la reconstruction souhaitée. 4) Applications cliniques. Les prothèses de ce type peuvent être utilisées pour reconstruire des segments osseux détruits, soit par des tumeurs, soit du fait d'interventions itératives et d'exérèse prothétique pour sepsis. Cette reconstruction fémorale supérieure est souvent associée à une reconstruction cotyloïdienne, qui nécessite: 1) l'aménagement du cotyle du receveur avec obtention d'un contact intime spongieux du receveur-spongieux du donneur, 2) une fixation stable des greffons spongieux dans le cotyle par vissage, sans utiliser un anneau métallique car seule la mise en charge de ces allogreffes spongieuses induit leur intégration, 3) cimentage de la cupule cotyloïdienne, avec des trous d'ancrage forés dans le cotyle du receveur, afin d'obtenir une bonne répartition des contraintes sur toute la surface de la greffe. Nous pensons qu'il faut éviter de visser un cotyle sur l'os nécrotique greffé. 4) enfin, si l'os iliaque est détruit par une tumeur ou un processus dégénératif, il est possible de le remplacer par une allogreffe massive. Ces interventions sont lourdes, et doivent être réservées aux indications d'inter-ilio-abdominales ou de coaptation trochantéro-iliaque. Conclusion: Lorsque les conditions oncologiques, orthopédiques ou traumatologiques imposent la résection d'une portion importante de l'extrémité supérieure du fémur, l'emploi d'une prothèse massive manchonnée par de l'os de banque semble être la meilleure soluiton pour des raisons biologiques et biomécaniques. Ses avantages sont les suivants: - elle autorise une remise en charge du patient au bout de quelques jours, - elle permet une refixation rapide des muscles périphériques, - elle fait disparaître la chambre péri-prothétique ce qui, de ce fait, va diminuer l'importance du bras de levier s'exerçant sur la prothèse, et donc protègera la jonction entre la prothèse et l'os du receveur, et limitera les risques de luxation de la prothèse - et elle va surtout permettre d'augmenter le capital osseux, et de replacer le patient dans les conditions d'une chirurgie primitive. Seules ces allogreffes manchonnées vont permettre de reconstruire des fémurs qui ont été détruits à la suite de multiples interventions itératives.
    Notes: Summary Massive reconstuction prostheses have been widely used with excellent short- and mid-term functional results but follow-up shows that they often cause mechanical problems in young subjects related to the metallurgic failure of the prosthesis and defective muscle reattachment to its metal components. Allografts offer much more reliable functional results because of their ability to adapt at a new site and more immediately because they permit rapid muscular reattachment, even though some uncertainties remain as to the extent of revascularisation of the grafts and their incorporation into the skeleton. These techniques of cuffed prostheses are naturally mainly indicated in oncology for tumoral excision, but also in cases of reconstructive surgery of the upper end of the femur quite apart from any tumoral or traumatic lesion. These possibilities of bony reconstruction are clearly important since revisional prosthetic surgery is increasingly common, especially at the hip, where patients are often seen with major bone defects following multiple successive procedures. Reconstruction prostheses cuffed by bank bone add to the patient's bone stock and restore the initial surgical conditions. The use of such prostheses is the subject of many current studies, relating to study of the biology of bony allografts, the optimal shape of the prosthesis and the modes of its fixation within the bone.
    Type of Medium: Electronic Resource
    Library Location Call Number Volume/Issue/Year Availability
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  • 3
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    Springer
    European journal of orthopaedic surgery & traumatology 7 (1997), S. 100-104 
    ISSN: 1432-1068
    Keywords: Allograft ; Bone tumors ; Allogreffe ; Tumeurs osseuses
    Source: Springer Online Journal Archives 1860-2000
    Topics: Medicine
    Notes: Summary The use of preserved bone is not a recent technique and the first reported cases of fresh allografts date from the beginning of the 19th century; many authors have practised such procedures with results judged good in over 50% of the cases. However, bony reconstruction after surgical excision for tumors still raises certain problems, which are not entirely resolved. This is a study in relation to massive grafts used to replace diaphyseal fragments or articular surfaces. The use of prostheses ensheathed by bank bone is an intermediate solution combining firmness with articular stability and muscular reattachment to the periprosthetic bone. This technique should be used whenever the loss of bone substance renders revascularisation of the graft uncertain.
    Type of Medium: Electronic Resource
    Library Location Call Number Volume/Issue/Year Availability
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  • 4
    Electronic Resource
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    Springer
    International orthopaedics 11 (1987), S. 169-178 
    ISSN: 1432-5195
    Keywords: Bone defects ; Large allografts
    Source: Springer Online Journal Archives 1860-2000
    Topics: Medicine
    Description / Table of Contents: Résumé Les autogreffes ont un potentiel ostéogénique indiscutable que ne possèdent pas les allogreffes mais le volume des prélèvements ne pouvant être que de faible importance, elles ne permettent pas de reconstruire un os ou une articulation qui a du être en partie ou en totalité réséqué, du fait de l'existence d'une tumeur osseuse ou d'une perte de substance posttraumatique. C'est la raison qui nous a poussé depuis 1971, à utiliser des allogreffes fraîches, puis à partir de 1981, des allogreffes cryopréservées pour reconstruire le squelette.
    Notes: Summary Fresh allografts of bone are commonly used for repairing small defects, but preserved grafts are required for replacing large sections of long bones. We have collected these grafts in sterile conditions and then preserved the specimens in liquid nitrogen at minus 196° Celsius. Biological, histological and biomechanical studies have confirmed the value of this technique. The method preserves the normal architecture of bone and viable cartilage cells. The medullary cells are gradually destroyed in situ leaving a protein matrix to which mineral components are fixed. Neither of these are antigenic in allografts and immunological problems are rarely encountered. When the recipient site is well vascularised the graft becomes fully integrated within two or three years. Doubt has been expressed as to the functional viability of the cartilage in large allograft joint replacements, and is has been suggested that metal prostheses might be better. Research is in progress in the use of ligament allografts and on the use of bank bone with large prostheses. The functional results are satisfactory in more than 90% of patients treated with these large allografts.
    Type of Medium: Electronic Resource
    Library Location Call Number Volume/Issue/Year Availability
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  • 5
    Electronic Resource
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    Springer
    International orthopaedics 14 (1990), S. 111-119 
    ISSN: 1432-5195
    Source: Springer Online Journal Archives 1860-2000
    Topics: Medicine
    Description / Table of Contents: Résumé Les reconstructions iliaques après résection large pour tumeur, destruction traumatique ou lyse iatrogène, posent de difficiles problèmes de réalisation technique. L'utilisation d'allogreffes massives cryoconservées va permettre de reconstituer une anatomie pratiquement normale du bassin et d'éviter les interventions très délabrantes comme le sont les amputations inter ilio-abdominales, ou les hémicorporectomies. Ces techniques de greffe sont à mettre en parallèle avec les coaptations trochantéro-iliaques ou sacrées, qui laissent un raccourcissement important du membre avec une fonction très diminuée. Les 14 malades présentés dans notre série ont été opérés selon une technique, originale par certains temps. L'exérèse carcinologique de la tumeur est longue et difficile, mais c'est de sa valeur que dépendra le succès ou l'échec de cette chirurgie. Ce ne sera qu'après être sûr d'avoir enlevé la lésion en totalité que l'on pourra envisager la reconstruction osseuse. La réinsertion musculaire sur le greffon est étonnament rapide et d'excellente qualité. La cicatrisation cutanée a été obtenue per primam sauf dans un cas. Dans deux cas, où une résection des racines nerveuses qui traversaient la tumeur a été nécessaire, une monoplégie fut la rançon de l'exérèse carcinologique. L'appareillage a pu se faire de façon tout à fait satisfaisante. Dans les dix cas où l'on a été obligé de pratiquer l'exérèse de l'articulation coxo-fémorale, nous avons préféré mettre en place une prothèse totale avec un cotyle cimenté dans l'allogreffe du bassin. Si les résultats sont globalement satisfaisants, et si un seul malade a dû être réopéré pour changement partiel de sa greffe qui s'était nécrosée, la déminéralisation observée en certains points du greffon, vers le 18ème–20ème mois postopératoire, bien qu'asymptomatique, doit faire limiter l'appui durant cette période.
    Notes: Summary The reconstruction of massive pelvic defects following resection for tumour or damage from major trauma presents great technical difficulty. We have used cryopreserved allografts in patients to restore the normal anatomy and avoid major resection, such as a hemipelvectomy. This method avoids major limb shortening and impairment of function which occurs after trochantero-iliac or trochanterosacral arthrodesis. Resection of tumour must be meticulous and complete in order to achieve a sound bed for the allograft. No problems were encountered in reattaching muscle insertions to the allograft, and skin healing was achieved without difficulty in all cases but one. In 2 patients involvement of nerve roots by tumour required their resection, with paralysis of the affected limb, but the overall function was satisfactory. In 10 patients removal of the hip joint was needed, and a total replacement was undertaken with cementing of the acetabular component into the allograft. Only one patient required a further operation because of partial necrosis of the allograft. Demineralisation was noted in some parts of the allograft between 18–20 months, but did not appear to affect function.
    Type of Medium: Electronic Resource
    Library Location Call Number Volume/Issue/Year Availability
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