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    ISSN: 1420-9098
    Source: Springer Online Journal Archives 1860-2000
    Topics: Biology
    Description / Table of Contents: Summary After overwinteringPheidole pallidula queens lay caste-biased eggs; some of them lay queen-biased eggs, some worker-biased eggs and the others the two kinds mixed. Previously we showed that the production of the two kinds of eggs depends on concentration of juvenile hormone and ecdysteroid levels in queens as well as in eggs. In the present work biological data are given about the different kinds of queens. - On the last day of hibernation, i.e. the day when the queen are transferred to experimental conditions (26°C), the “queen-biased” queens were heavier than the “workerbiased” ones. The recorded mean-weights were 10.17 mg and 9.45 mg respectively. - Five days later, i.e. on the third day after the beginning of egg-laying the difference is more pronounced: 10.06 mg compared with 8.94 mg. This short period is critical with respect to the caste-biasing; the “queen-biased” queens do not loose weight (10.17 mg to 10.00 mg) whereas the “worker-biased” queens do (9.45 mg to 8.96 mg). - Significant differences occurred in oviposition during the first day: the “queen-biased” queens produced an average of 0.76 mg of eggs agaist 0.43 mg for the “workerbiased” ones. On the third day of egg-laying, the difference between them both is diminished: 3.19 mg against 2.90 mg. - Queen-biased eggs are lighter than worker-biased eggs. Those of the firs days weighed 8.4 μg in the mean in the first case and 8.9 μg in the second. - The last two data show that the “queen-biased” queens laid more eggs than the “worker-biased” queens (358 against 305) during the first days following overwintering. - It seems that “queen-biased” queens are more attractive than others queens, get møre food so increase their fat body reserves and their ability to lay eggs. Thus, the production of queen-biased eggs results from a peculiar oogenesis governed by internal (hormones) and external factors (feeding, overwintering, ageing and others).
    Notes: Resume Après l'hibernation, les reines de la FourmiPheidole pallidula pondent des œufs prédéterminés; les unes émettent des œufs à évolution sexuée, les autres à évolution ouvrière, d'autres enfin un mélange des deux. Des travaux antérieurs ont montré que la ponte d'œufs de chacune de ces catégories s'accompagne de valeurs hormonales d'hormones juvéniles et d'ecdystéroïdes particulières tant chez les reines que dans les œufs. Le présent travail a pour but d'essayer de caractériser les reines pondeuses des différents types. - Au jour de la sortie d'hibernation, c'est-à-dire le jour où les reines sont mises en expérience à 26o, les reines à descendance sexuée sont plus lourdes que leurs homologues à descendance ouvrière: elles pèsent en moyenne 10,17 mg contre 9,45 mg. - Cinq jours plus tard, c'est-à-dire trois jours après le début de la reprise de la ponte, la différence est encore plus sensible: 10,06 mg contre 8,94 mg. On remarquera qu'au cours de cette brève période, cruciale en ce qui concerne la qualité de la descendance, les reines à l'origine du couvain sexué ne maigrissent pas (10,17 contre 10,00 mg) alors que les reines à l'origine du couvain ouvrier perdent du poids (9,45 contre 8,96 mg). - Des différences considérables apparaissent dans le rythme de ponte au cours du premier jour de l'émission des œufs: les reines à descendance sexuée en produisent en moyenne 0,76 mg contre 0,43 pour les reines à descendance ouvrière. Au troisième jour de ponte, les deux valeurs ont tendance à se rapprocher: 3,19 mg contre 2,90 mg. - Les œufs à devenir sexué sont plus légers que leurs homologues à devenir ouvrière; sur les trois premiers jours de ponte ils pèsent en moyenne dans le premier cas 8,4 μg contre 8,9 dans le deuxième. - L'association des deux derniers caractères indique que les reines à devenir sexué pondent plus d'œufs (358 contre 305) dans les jours qui suivent la fin de l'hibernation. - Il semble que les reines pondeuses d'œufs à devenir sexué sont plus attractives que les autres et bénéficient ainsi d'un apport alimentaire qui contribue à augmenter leurs réserves (corps gras). Au total la production d'œufs à l'origine des futures reines résulte d'une ovogenèse particulière qui est en relation avec des facteurs internes (hormones) et externes (nourriture, hibernation, âge, etc.).
    Type of Medium: Electronic Resource
    Library Location Call Number Volume/Issue/Year Availability
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    Electronic Resource
    Electronic Resource
    Springer
    Cell & tissue research 128 (1972), S. 426-437 
    ISSN: 1432-0878
    Keywords: Spermathecal gland ; Silphidae ; Cell types ; Ultrastructure
    Source: Springer Online Journal Archives 1860-2000
    Topics: Biology , Medicine
    Description / Table of Contents: Résumé Chez les Silphes et en particulier chez Phosphuga atrata, la glande de la spermathèque présente une structure particulière liée à la présence d'une intima cuticulaire tapissant la lumière de la glande. Elle comporte trois types cellulaires: les cellules sécrétrices, les cellules de l'épithélium sous-cuticulaire et les cellules-manchons. Les cellules sécrétrices de grande taille contiennent une invagination de la membrane cytoplasmique formant une «vacuole» extracellulaire bordée de microvillosités. Dans cette vacuole plonge l'extrémité, différenciée en ampoule poreuse, d'un canalicule de nature cuticulaire, qui véhicule la sécrétion jusqu'à la lumière de la glande. Le canalicule est élaboré par une cellule-manchon qui l'accompagne sur toute sa longueur sauf à son extrémité intravacuolaire. Ce type de glande, qui se retrouve chez de nombreux Insectes, y assurant des fonctions diverses (sécrétion odorifique, sécrétion de défense, sécrétion spermale, etc.), est susceptible de nombreuses variations.
    Notes: Summary The spermathecal accessory gland in the female of Phosphuga atrata (Silphidae), exhibits a special structure which is due to the presence of a cuticular intima lining the lumen. The wall of the gland shows three cellular types: the secretory cells, the epithelial cells and the ductule carrying cells. Each large secretory cell contains a cavity formed by an invagination of the cytoplasmic membrane and lined by many microvilli. The secretory cell is connected with a cuticular ductule ending in the cavity of the glandular cell, in a porous organelle. This ductule, which carries the secretory material to the lumen, is surrounded by the ductule carrying cell. This type of integumentary gland is very common in insects, where it assumes various functions (attraction, defense, conservation of sperm, etc.) and its morphology varies considerably.
    Type of Medium: Electronic Resource
    Library Location Call Number Volume/Issue/Year Availability
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