ISSN:
1420-911X
Source:
Springer Online Journal Archives 1860-2000
Topics:
Medicine
Description / Table of Contents:
Zusammenfassung In 24 Werkstätten der Maschinenindustrie ist die Exposition von Arbeitern zu Trichloräthylen untersucht worden, wobei der Gehalt der Luft an Trichloräthylendämpfen, die Ausscheidung der Trichloressigsäure im Urin der Exponierten und der Gesundheitszustand der Beschäftigten geprüft worden sind. Die Luftanalysen ergaben Trichloräthylenkonzentrationen zwischen 1 und 335 ppm (cm3/m3 Luft). Die meisten Werte bewegten sich zwischen 20 und 40 ppm. Die Konzentrationen der Trichloräthylendämpfe sind bei den offenen Bädern höher als bei den geschlossenen Apparaten. Fortlaufende Messungen an ein und demselben Arbeitsplatz ergaben beträchtliche Schwankungen der Luftkonzentrationen, deren Ausmaß durch die momentanen Lüftungsverhältnisse und durch die Handhabung des Arbeitsgutes im wesentlichen bestimmt wird. Für die Trichloressigsäure-Ausscheidung wurden bei 73 Arbeitern Werte zwischen 8 und 444 mg/l Urin gemessen; der Durchschnittswert betrug 86,7 mg/l. Das Verhältnis der ausgeschiedenen Trichloressigsäure (mg/l) zu den Luftkonzentrationen des Trichloräthylens (ppm) beträgt 3 : 1. Dieses Ausscheidungsverhältnis schwankt individuell stark; junge Arbeiter weisen ein Verhältnis von 6 : 1, ältere ein solches von 2 : 1 auf. Aus den Resultaten kann berechnet werden, daß im Durchschnitt 13% des inhalierten Trichloräthylens in Form von Trichloressigsäure ausgeschieden werden. Die klinischen Untersuchungen haben eine besondere Häufung von subjektiven Beschwerden, von neurologischen und neurovegetativen Störungen und von psychoorganischen Syndromen gezeigt. Die Blutanalysen, die Leberfunktionsprüfungen und die Untersuchungen des Urins lassen erkennen, daß die untersuchten Arbeiter häufig in einem schlechten Gesundheitszustand sind. Die statistische Analyse des Materials hat außerdem gezeigt, daß die Häufigkeit der neurovegetativen, neurologischen und psychischen Störungen sowohl mit der Dauer als auch mit dem Ausmaß der Trichloräthylen-Exposition zunimmt. Wir müssen aus diesen Befunden den Schluß ziehen, daß die maximale Arbeitsplatzkonzentration (MAK-Wert) für Trichloräthylen unterhalb 40 ppm und der entsprechende Grenzwert für Trichloressigsäure im Urin unterhalb 96 mg/l festgelegt werden müssen.
Abstract:
Summary The concentrations of trichlorethylene vapours have been measured in the air of 24 workshops, and the eliminations of trichloracetic acid have been determined in the urine of 73 workers. A method based on the Fujiwara reaction was used. The 96 air analyses gave values between 1 and 335 ppm. The open trichlorethylene-apparatus gave higher values (59 ppm) than the closed ones (23 ppm). A series of consecutive measurements during a period of 3–4 hours showed a great variation of the values due to the actual degree of ventilation and of utilization of the apparatus. The concentration of trichloracetic acid varied between 8 and 444 mg/l urine; the mean value was 86,7 mg/l. The ratio between the elimination of trichloracetic acid in mg/l and the trichlorethylene exposition in ppm was, for the men occupied the whole day with trichlorethylene, in the mean equal to 3 : 1. This relationship varies greatly, the younger workers having on an average a ratio of 6 : 1 and the elderly subjects one of 2 : 1. The eliminated trichloracetic acid is in the mean 13% of the trichlorethylene inhaled during a work period of 8 hours. The clinical examinations showed a relatively high frequency of subjective complaints, of alterations of the vegetative nervous system, and of neurological and psychiatric modifications. There is a relationship between the frequency of those nervous alterations and the degree of exposition to trichlorethylene. The determinations of the concentration of trichlorethylene in the air and the corresponding elimination of trichloracetic acid in the urine show that there is a great discrepancy between the actually accepted MAC values for trichlorethylene and those for trichloracetic acid. We conclude from our results, that the MAC for trichlorethylene should be fixed below 40 ppm, and that the MAC for trichloracetic acid should be fixed below 96 mg/l.
Notes:
Résumé Dans 24 ateliers de l'industrie mécanique, nous avons examiné l'exposition au trichloréthylène en mesurant la concentration des vapeurs de tri dans l'air, en déterminant l'élimination de l'acide trichloracétique dans les urines et en examinant l'état de santé des ouvriers occupés au tri. La détermination du tri et de l'ac. tca. a été effectuée à l'aide des méthodes décrites par Truhaut et Fabrebasées sur la réaction de Fujiwara. Les 96 analyses d'air ont révélé des concentrations de tri variant entre 1 et 335 ppm. La plupart des valeurs varient cependant entre 20 et 40 ppm. Les concentrations sont plus élevées près des appareils ouverts que près des appareils fermés. Une série de mesures consécutives à la même place de travail montre une variation considérable des concentrations du tri, variations qui doivent être attribuées aux conditions momentanées d'aération du local et des manipulations de trempage et de séchage aux appareils de tri. Les valeurs de l'ac. tca. obtenues chez 73 ouvriers occupés au tri varient entre 8 et 444 mg/l; la moyenne générale est de 86,7 mg/l. Le rapport entre l'ac. tca. (mg/l) et le tri (ppm) est en moyenne de 3 : 1. Ce rapport varie considérablement d'un individu à l'autre, les jeunes ouvriers présentant en moyenne des rapports de 6 : 1, les plus âgés des rapports de 2 : 1. Nos résultats permettent de conclure que l'ac. tca. éliminé constitue en moyenne le 13% du tri inhalé pendant les 8 heures de travail. Les examens cliniques de l'état de santé des ouvriers ont révélé un taux de fréquence relativement élevé pour les plaintes subjectives, les troubles du système nerveux végétatif, les altérations neurologiques et les syndromes psycho-organiques. Les examens biochimiques du sang, les déterminations de la formule sanguine, et les analyses des urines ont révélé que l'état de santé des ouvriers examinés est fréquemment mauvais. Il existe certainement un rapport entre la grandeur et la durée de l'exposition au tri d'une part et la fréquence des troubles végétatifs, neurologiques et psychiques d'autre part. Les déterminations simultanées de l'ac. tca. dans l'urine et des concentrations du tri dans l'air ont révélé qu'il existe un désaccord considérable entre les concentrations maximum tolérées pour le tri d'une part et pour l'ac. tca. d'autre part. Nous concluons de nos recherches que la concentration maximum admissible du tri dans l'air pour un travail continu doit être fixée en tous cas à une valeur inférieure à 40 ppm, et que la limite correspondante pour l'ac. tca. dans les urines doit être en tous cas inférieure à 96 mg/l.
Type of Medium:
Electronic Resource
URL:
http://dx.doi.org/10.1007/BF02031631
Permalink
