ISSN:
1435-1463
Source:
Springer Online Journal Archives 1860-2000
Topics:
Medicine
Description / Table of Contents:
Zusammenfassung Hühnerembryonen von 10 Somiten bis zu 6 Tagen wurden mittels der Cajalschen und Bielschowskyschen Methode imprägniert. Der Arbeitsrichtung unseres Meisters, Herrn Prof.Tello, auf dem Gebiet der Entwicklung des Orthosymmpathicus folgend, haben wir uns mit der Entwicklung des Ganglion ciliare beschäftigt. Wir konnten weder entlang des III. Cranialnerven noch von den sensiblen cranialen Ganglien eine Zellauswanderung beobachten. Man findet die Neuroblasten des Ganglion ciliare erst bei Embryonen von 34 Somiten (etwa 72 Stunden Inkubation) im Mesenchym in der Nähe der cephalen Aortenwand, d. h. an der Ursprungsstelle des Orthosympathicus und in derselben Linie.
Abstract:
Summary Embryos of chickens of 10 somites up to 6 days were impregnated by means of the methods of Cajal and Bielschowsky. Following the working direction of our master, Prof.Tello, in the field of the development of the orthosympathetic nerve we occupied ourselves with the development of the ciliary ganglion. We could not observe an emigration of cells either along the path of the third cranial nerve or from the sensitive cranial ganglions. The neuroblasts of the ciliary ganglion are found only in embryos of 34 somites (about 72 hours of incubation), in the mesenchyme in the vicinity of the cephalic aorta wall, i. e., in the place of origin of the orthosympathetic nerve and along the same line.
Notes:
Résumé En relation avec les idées soutenues par d'autres auteurs, nous pouvons établir définitivement les faits suivants: 1. On peut, en définitive, nier la genèse du ganglion ciliaire partant des éléments neuraux émigrés du mésencéphale, et suivant le chemin de la 3e paire. Il y a, dans ce sens, un accord unanime entre nos observations morphologiques et les données expérimentales: tous les auteurs, sans exception, qui ont fait dans des embryons la destruction du m.o.c. observent que malgré cette opération, le ganglion ciliaire se développe normalement. 2. L'hypothèse d'une genèse partant de cellules émigrées du ganglion ophtalmique, peut également être écartée; il y a une concordance absolue entre nos données morphologiques et les résultats expérimentaux de tous les auteurs. 3. L'origine à partir de lacrête neurale constitute un problème plus complexe. Morphologiquement les éléments émigrés de la crête ne peuvent se distinguer de ceux qui proviennent de plusieurs sources. Par conséquent on ne peut, morphologiquement, nier ni affirmer définitivement que quelques éléments issus de sources plus haut indiquées puissent contribuer à la genèse du ganglion. Au point de vue expérimental les données sont contradictoires: d'une part,Levi-Montalcini etAmprino affirment que la destruction de la crête n'empêche pas le développement du ganglion ciliaire. D'autre part,Hammond etYntema assurent le contraire. Nous laissons de côté les difficultés techniques d'une intervention sur des embryons si jeunes, difficultés queHammond etYntema eux-mêmes mettent en relief. Quant à nous, nous pensons que, même s'il y avait une coïncidence, si tous les auteurs admettaient que la destruction de la crête empêche le développement du ganglion ciliaire, le fait ne constituerait pas une preuve décisive en faveur de la supposition. N'oublions pas que, surtout à ces premiers moments, le développement tout entier est une conséquence d'inductions réciproques. Enlever la crête neurale n'est pas seulement supprimer la crête neurale mais il faut compter en même temps sur la série d'inductions qu'elle peut exercer et qui nous sont inconnues. 4. Nous arrivons \`a l'origine m\'esenchymale d\'emontr\'ee pr\'econis\'ee parTello pour l'orthosympathique. Les donn\'ees morphologiques nous permettent de croire que les neuroblastes se forment en rapport intime avec les endoth\'eliums vasculaires.
Type of Medium:
Electronic Resource
URL:
http://dx.doi.org/10.1007/BF01234597
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