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    Electronic Resource
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    Oxford, UK : Blackwell Publishing Ltd
    The @journal of eukaryotic microbiology 22 (1975), S. 0 
    ISSN: 1550-7408
    Source: Blackwell Publishing Journal Backfiles 1879-2005
    Topics: Biology
    Notes: La morphologie de la grégarine Didymophyes gigantea, au cours de la croissance et de l'évolution du trophozoïte et de la syzygie, est étudiée en microscopie photonique et en microscopie électronique à balayage. Certaines observations sont également illustrées par quelques micrographies en microscopie électronique à transmission.Les premiers stades de développement de cette grégarine polycystidée ne possèdant cependant pas de septum; celui-ci n'apparaîtra qu'au cours de la croissance du jeune trophozoïte. Plus tard, les trophozoïte se détachent de la cellule-hôte pour s'as-socier en syzygies généralement constituées de 2 gamontes. Des syzygies multiples, c'est-à-dire à plus de 2 individus sont fréquemment observées. Immédiatement après l'association de 2 trophozoïtes, le satellite, dont le septum se résorbe, semble pénétrer quelque peu dans l'extrémité postérieure du primite, tandis que le protomérite de ce dernier va voir son apex se transformer en une sorte de coiffe sillonnée radialement. L'epicyte de cette grégarine est différencié en un système régulier de plis longitudinaux. Au niveau du deutomérite les plis sont animés de mouvements ondulatoires permettant des mouvements de glissement du parasite. Les plis du protomérite, qui ne semblent pas intervenir dans le déplacement par translation du parasite, sont rectilignes. Lorsque le septum proto-deutoméritique du satellite disparaît, les plis initialement rectilignes du protomérite deviennent également ondulatoires. Des excroissances des plis épicytaires apparaissent au niveau de l'etranglement marquant la limite proto-deutomérite et de la cloison primite-satellite. Plus tard, en fin d'évolution, il s'en forme également sur tout le deutomérite. Aucun noyau n'a jamais été observé, in vivo, dans la grégarine adulte, le jeune trophozoïte, ou même les 2 gamontes d'une syzygie. Cependant sur coupes fines en microscopie électronique à transmission, une grande quantité de très petits noyaux ont été découverts.La motilité de cette grégarine semble donc être due à 3 systèmes différents: (a) les plis ondulatoires de l'épicyte; (b) les myonèmes annulaires ectoplasmiques; (c) l'important flux cytoplasmique.Les relations entre les cycles de l'hôte et du parasite, les divisions nucléaires progamiques, l'origine du déplacement par translation de la grégarine et des contractions péristaltiques, font également l'objet d'une discussion.〈section xml:id="abs1-2"〉〈title type="main"〉SYNOPSISStructure of the gregarine Didymophyes gigantea during syzygy and growth and development of the trophozoite, was studied by light microscopy and scanning electron microscopy. Some observations are illustrated also by a few micrographs obtained by transmission electron microscopy.The first developmental stages of this cephaline gregarine do not have a septum, which appears only during growth of the young trophozoite. Later, the trophozoites detach themselves from the host cell to become associated in syzygy which usually involves 2 gamonts. Multiple syzygies, i.e. those involving more than 2 animals are frequently observed. Immediately after association of 2 trophozoites the satellite, whose septum is resorbed, appears to penetrate the posterior extremity of the primite for some distance, while the latter's protomerite has its apex transformed into a kind of radially furrowed cap. The epicyte (surface) of this gregarine is differentiated into a system of regular longitudinal folds. At the level of the deutomerite the folds exhibit undulatory movements which allow gliding movements of the parasite. The folds of the protomerite, which does not participate in the movement of the parasite, are rectilinear. When the proto-deutomeritic septum of the satellite disappears, the initially rectilinear folds of the protomerite also become undulatory. Excrescences of the epicytic folds appear at the level of the narrowed areas marking the proto-deutomerite junction and the primite-satellite septum. Toward the end of development they form over the entire deutomerite. No nucleus has ever been observed in living mature gregarines, young trophozoites, or in 2 gamonts in syzygy. A large number of very small nuclei was discovered, however, in thin sections examined by transmission electron microscopy.Motility of the gregarine appears to depend upon 3 different systems: (a) the undulating epicytic folds; (b) the ectoplasmic annular myonemes; (c) the cytoplasmic streaming.The relationships between the host and parasite cycles, the “progamic” nuclear divisions, and the origin of movement and peristaltic contractions of the gregarine are also discussed.
    Type of Medium: Electronic Resource
    Library Location Call Number Volume/Issue/Year Availability
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