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  • 1
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    Springer
    Entomologia experimentalis et applicata 58 (1991), S. 261-265 
    ISSN: 1570-7458
    Keywords: Chrysomya bezziana ; screw-worm fly ; development rates ; reproductive age
    Source: Springer Online Journal Archives 1860-2000
    Topics: Biology
    Notes: Abstract Rates of ovarian development in relation to temperature were determined for autogenous females of the screw-worm fly, Chrysomya bezziana. Percentage durations of the different ovarian stages (scaled 2–10) were estimated on the basis of observed lengths of the developing oocytes. Mean durations (h) of each ovarian stage was determined at 20, 25, 28 and 35°C. A model of ovarian development rate (%/d) in relation to temperature (T) is presented, the fitted curve being give by R(T)=EXP (−2.73+0.362T−0.0055T2).
    Type of Medium: Electronic Resource
    Library Location Call Number Volume/Issue/Year Availability
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  • 2
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    Springer
    Entomologia experimentalis et applicata 44 (1987), S. 115-122 
    ISSN: 1570-7458
    Keywords: Musca vetustissima ; oocyte resorption ; protein-feeding ; potential fecundity ; realised fecundity
    Source: Springer Online Journal Archives 1860-2000
    Topics: Biology
    Description / Table of Contents: Résumé Le nombre d'ovarioles des Musca vetustissima femelles (fécondité potentielle/cycle ovarien) est lié directement à la taille de la mouche (largeur de la tête); la fécondité potentielle ne varie pas entre les cycles ovariens successifs. Les femelles de la nature, d'une largeur de tête moyenne (2 mm) ont une fécondité potentielle moyenne de 25 oeufs par cycle. Les femelles anautogènes, ont besoin d'un repas riche en protéines pour produire des oeufs mûrs. Les femelles qui n'obtiennent pas la quantité suffisante de protéines pour permettre la maturation d'un lot complet d'oeufs peuvent interrompre leur développement avant ou pendant le début de la vitellogenèse, ou résorber certains ovocytes tout en conduisant à maturité le reste. Les femelles de la nature conduisent a maturité 85% de leurs lots d'oeufs, montrant ainsi que les femelles de M. vetustissima y ont un accès facile à des aliments riches en protéines.
    Notes: Abstract The number of ovarioles in female Musca vetustissima (potential fecundity/ovarian cycle) is positively correlated with fly size (headwidth) and potential fecundity does not vary between successive ovarian cycles. Field females of average headwidth (2 mm) have a mean potential fecundity of 25 eggs/cycle. Females are anautogenous, needing to ingest protein-rich material in order to mature their oocytes. Females that obtain insufficient protein material for maturation of full egg complements may cease ovarian development before or during early vitellogenesis, or resorb some of their oocytes and mature the remainder. Field females consistently matured in excess of 85% of their egg complements, indicating that female M. vetustissima have ready access to protein-rich material in the field.
    Type of Medium: Electronic Resource
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  • 3
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    Springer
    Entomologia experimentalis et applicata 44 (1987), S. 101-113 
    ISSN: 1570-7458
    Keywords: Musca vetustissima ; oocyte resorption ; development rates ; protein-feeding ; reproductive age
    Source: Springer Online Journal Archives 1860-2000
    Topics: Biology
    Description / Table of Contents: Résumé Une échelle de classement est élaborée d'après l'âge des femelles de Musca vetustissima, en se basant sur la longueur et la teneur en vitellus des follicules en croissance. Des modèles de développement ovarien sont proposés pour évaluer les âges chronologique et reproductif, dans les conditions de laboratoire et de la nature. La vitesse de maturation est déterminée avant tout par la température, mais elle est aussi influencée par la disponibilité en protéines et la taille de l'adulte (largeur de la tête). Des femelles de taille moyenne (2 mm de largeur de tête) ont besoin de 70 et 38 degrés/jours au-dessus de 8°C pour conduire successivement à maturité leur premier et leur second lots d'oeufs. Au laboratoire, avec une alimentation protéique inférieure à l'optimum, le développement des femelles est interrompu pendant des durées variables avant le début de la vitellogenèse. Ces femelles résorbent aussi une fraction de leur lot d'oeufs, mais les vitesses de développement ovarien n'ont pas été modifiées par cette résorption. Dans la nature, le développement ovarien s'effectue à peu près à la vitesse prévue, demandant seulement 5 jours de plus que les prévisions pour accomplir leur premier cycle ovarien, et ensuite 2 jours de plus que prévu pour accomplir chaque cycle supplémentaire.
    Notes: Abstract A reproductive age-grading system is presented for female Musca vetustissima based on length and yolk content of developing follicles. Ovarian development rate models are also presented for estimating reproductive and chronological ages of females under laboratory and field conditions. Maturation rates are determined primarily by temperature, but are also influenced by protein-availability and fly size (adult headwidth). Females of average size (2 mm headwidth) require 70 and 38 day degrees above 8°C respectively to mature their first and subsequent egg complements. Under suboptimal protein-feeding regimes in the laboratory, females experienced variable periods of arrested development prior to vitellogenesis. These females also resorbed part of their egg complements, but their ovarian development rates were unaffected by oocyte resorption. Under field conditions, females develop their ovaries at near expected rates, requiring only 5 and 2 day degrees more than expected, repectively, to complete their first and each subsequent ovarian cycle.
    Type of Medium: Electronic Resource
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  • 4
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    Springer
    Entomologia experimentalis et applicata 30 (1981), S. 157-162 
    ISSN: 1570-7458
    Source: Springer Online Journal Archives 1860-2000
    Topics: Biology
    Description / Table of Contents: Résumé Parvenues au terme de leur développement, les larves de Lucilia cuprina quittent leur hôte (mouton ou charogne) au cours de la nuit. Cette particularité s'est vérifiée pour un large spectre de photo-périodes et de minima de températures nocturnes. Les sorties de larves au cours de la la nuit présentent un maximum qui varie pour une même période en fonction de la nuit considérée. Il est possible de mettre en évidence un rythme endogène responsable en partie de la distribution des sorties. Comme les moutons se rassemblent la nuit sur certains sites préférentiels, nymphes et adultes de L. cuprina sont probablement concentrés aux alentours de ces dortoirs.
    Notes: Abstract After completing their development larvae of the sheep blowfly, Lucilia cuprina, leave the sheep or carcase at night. This pattern of exodus was found to be present through a wide range of photoperiods and nightly minimum temperatures. The time of peak exodus during the night varied depending on whether it was early or late in the period of exodus from the strike. Evidence is presented that an endogenous rhythm is partially responsible for the pattern of exodus. Since sheep rest at night in preferred camp sites, the pupae and emerging adults of Lucilia cuprina are probably concentrated around these camp sites.
    Type of Medium: Electronic Resource
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  • 5
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    Springer
    Entomologia experimentalis et applicata 39 (1985), S. 85-90 
    ISSN: 1570-7458
    Keywords: Lucilia cuprina ; Diptera ; Calliphoridae ; oocyte resorption ; maturation ; development rates
    Source: Springer Online Journal Archives 1860-2000
    Topics: Biology
    Description / Table of Contents: Résumé Les taux de développement ovarien de L. cuprina sont déterminés par la température ambiante, et la femelle exige un minimum de 57 degrés-jours audessus de 8°C pour développer son premier lot d'oeufs. Le nombre d'ovocytes qu'une femelle peut former dépend de sa taille et de la quantité d'aliments riches en protéines absorbées. Dans les conditions de la nature, les femelles obtiennent normalement suffisamment de protéines pour atteindre la maturité mais rarement l'ensemble de leur contingent d'oeufs se développe totalement, c'est à dire que la majorité des femelles résorbé une partie de ses ovocytes. La résorption des ovocytes prolonge la période de maturation d'environ 0,3 dégre-jour par ovocyte résorbé. Un modèle de taux de développement ovarien est proposé qui incorpore les retards dus à la résorption et utilise les régimes de température ambiante pour évaluer les âges physiologiques et les taux de maturation des femelles dans la nature.
    Notes: Abstract Rates of ovarian development in L. cuprina are determined by ambient temperatures and females require a minimum of 57 day degrees above 8°C to mature their first complement of eggs. The number of oocytes that a female can mature depends on her size and the amount of protein-rich material ingested. Under field conditions, females usually obtain sufficient protein to reach maturity but rarely mature their full egg complements (Vogt et al., 1985), i.e., most females resorb some of their oocytes. Oocyte resorption prolongs the maturation period by approximately 0.3 day degrees/oocyte resorbed. A model of ovarian development rates is presented which incorporates resorption delays and uses ambient temperature regimes to estimate the physiological ages and maturation rates of field females.
    Type of Medium: Electronic Resource
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  • 6
    ISSN: 1570-7458
    Keywords: Lucilia cuprina ; Diptera ; Calliphoridae ; oocyte resorption
    Source: Springer Online Journal Archives 1860-2000
    Topics: Biology
    Description / Table of Contents: Résumé Chez Lucilia cuprina Wied., le nombre d'ovarioles, et ainsi le nombre maximum d'oeufs développés au cours de chaque cycle ovarien, est une fonction linéaire de la taille de l'adulte (largeur de la tête). La largeur moyenne de la tête des femelles de la nature est 3 mm (2,3 à 3,5) et la fécondité potentielle moyenne par cycle de 232 oeufs (111 à 318). La fécondité réelle est influencée par la qualité et la quantité de protéines dans le régime alimentaire. Toutes les femelles de la nature semblent avoir les mêmes exigences minimales en protéines pour la maturation des ovocytes, c'est à dire que quelle que soit leur taille (fécondité potentielle) les femelles doivent obtenir les protéines suffisantes à la formation d'au moins 110 ovocytes pour devenir gravides. Les femelles dont l'absorption de protéines dépasse ce minimum, mais est insuffisant pour permettre la maturation de la totalité de leurs ovocytes, en résorbent quelques uns et conduisent à maturité le reste. Puisque la fécondité potentielle augmente avec la taille des mouches, les grosses femelles résorbent plus d'ovocytes que les petites avec un régime suboptimal en protéines, c'est à dire que la proportion d'ovocytes résorbés augmente avec la taille des mouches. Dans les conditions de la nature, la totalité des ovocytes parvient rarement à maturité, ce qui indique une limitation générale en aliments riches en protéines. La réduction moyenne de la fécondité chez les femelles de la nature a été au cours de cette étude de 53.4 oeufs par cycle (23,2%).
    Notes: Abstract In the Australian sheep blowfly, Lucilia cuprina, the number of ovarioles, and hence the maximum number of eggs developed in each ovarian cycle, is a linear function of adult size (headwidth). Field females have a mean headwidth of 3.0 mm (range=2.30–3.50 mm) and a mean potential fecundity/cycle of 232 eggs (range=111–318 eggs). Realised fecundity is influenced by the quality and amount of protein in the adult diet. All field females appear to have the same minimum protein requirement for egg maturation, i.e., whatever their size (potential fecundity) females must obtain sufficient protein to mature at least 110 eggs in order to become gravid. Females whose protein intake exceeds this minimum but falls short of the amount needed for maturation of their full egg complements resorb some of their oocytes and mature the remainder. Since potential fecundity increases with fly size, large females resorb more oocytes than small females under suboptimal protein regimes, i.e., the proportion of oocytes resorbed increases with fly size. Under field conditions, females rarely matured full complements of eggs, which indicates a general shortage of protein-rich material. The mean reduction in fecundity of field females during these studies was 53.4 eggs/cycle (23.2%).
    Type of Medium: Electronic Resource
    Library Location Call Number Volume/Issue/Year Availability
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  • 7
    ISSN: 1570-7458
    Keywords: Lucilia cuprina ; blowfly ; autogenous ; anautogenous ; survival ; food deprivation ; females
    Source: Springer Online Journal Archives 1860-2000
    Topics: Biology
    Description / Table of Contents: Résumé La grande majorité des femelles de L. cuprina est anautogène. Cependant, l'observation de femelles autogènes dans la nature, et la sélection au laboratoire d'une lignée autogène à partir d'une souche anautogène indique que cette espèce est susceptible de devenir autogène. Le stade de développement ovarien des femelles capturées dans la nature montre que l'habitat est généralement carencé en aliments riches en protéines susceptibles de permettre le développement ovarien de L. cuprina. Dans de telles conditions, les femelles autogènes devraient être avantagées; leur très grande rareté indique que certains désavantages doivent être associés au génotype autogène. On a constaté que les femelles autogénes qui viennent d'émerger ont une teneur en eau plus faible que les anautogènes; ceci suggère que l'un des coûts possibles de l'autogénie pourraît être une aptitude réduite à supporter les périodes de privation d'eau suivant l'émergence. Pour cette raison, la survie de femelles sauvages anautogènes a été comparée à celles de lignées autogènes sélectionnées au laboratoire, en absence de sucrose, en présence ad lib. de sucrose, ou sans eau ni sucre. Pouvues uniquement de sucrose, les femelles anautogènes survivent 12 heures de plus que les autogènes, tandis qu'en présence exclusive d'eau les femelles autogènes survivent 19 heures de plus. En absence de sucrose et d'eau les femelles anautogènes survivent environ 5 heures de plus. Il semble que la mortalité des femelles autogènes privées totalement d'aliments est due principalement à un stress hydrique, tandis que le sucrose et le stress hydrique ensemble paraissent jouer un rôle dans la mort des femelles anautogènes. Ces résultats montrent que l'autogénie des femelles peut être un désavantage lors des conditions sèches fréquentes dans l'aire de cette espèce.
    Notes: Abstract The vast majority of wild-type females of Lucilia cuprina are anautogenous. The survival of wild-type anautogenous females following emergence was compared with that of females from laboratory-selected autogenous strains, when deprived of sucrose and given ad lib access to water, deprived of water and given ad lib access to sucrose, or deprived of both water and sucrose. Anautogenous females survived substantially longer than autogenous females when only sucrose was supplied, but the opposite applied when the flies were supplied with water only. Anautogenous females survived somewhat longer than autogenous females in the absence of both sucrose and water. Thus, autogenous females might be at a disadvantage in the dry conditions which often prevail in areas occupied by the species.
    Type of Medium: Electronic Resource
    Library Location Call Number Volume/Issue/Year Availability
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  • 8
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    Springer
    Entomologia experimentalis et applicata 55 (1990), S. 33-40 
    ISSN: 1570-7458
    Keywords: Sheep blowfly ; Lucilia cuprina ; readiness to lay ; oviposition site-deprivation ; egg-load
    Source: Springer Online Journal Archives 1860-2000
    Topics: Biology
    Description / Table of Contents: Résumé L'effet de la privation de lieu de ponte a été étudié en comparant les pontes de femelles isolées ayant formé leurs œufs mûrs dans les 24 heures précédentes, à celles de femelles ayant atteint leur maturité sexuelle 8 jours avant. La rétention ovocytaire est provoquée en faisant consommer aux femelles de cette espèce anautogène différentes quantités d'aliments riches en protéines. La ponte de femelles dont le contingent total de leurs ovocytes s'est développé, — c'est-à-dire 260 —, après consommation ad libitum de foie de mouton pendant 48 heures, a été comparée à celle de femelles ayant formé 190 ovocytes mûrs après ingestion d'une quantité limitée de jus de foie. Dans des expériences sans choix, les femelles isolées de différences catégories ont eu accès pendant 4 heures au substrat de ponte trempé: 1) dans du jus de foie, 2) dans du jus dilué 16 fois, 3) dans du jus de foie non dilué mais contenant NaCl (inhibiteur de la ponte) à la concentration de 2 M. Le jus non dilué a provoqué une forte stimulation, induisant la ponte de 80% des femelles. Le jus dilué et celui contenant NaCl n'ont induit la ponte que de 40% des femelles avec des niveaux de stimulation bien plus faibles. La date d'introduction du lieu de ponte et le taux de rétention des ovocytes mûrs n'ont eu auçun effet sur la proportion de femelles réagissant à ces 3 types de stimulation.
    Notes: Abstract Oviposition by Lucilia cuprina Wiedemann (Diptera, Calliphoridae) was examined in relation to period of oviposition site-deprivation and egg-load. Effects of oviposition site-deprivation were examined by comparing oviposition performance of individual females that had matured their batch of oocytes within the previous 24 h with that of females which had reached ovarian maturity 8 days previously. Egg-load was manipulated by causing females of this anautogenous species to consume different amounts of protein-rich material. In no-choice experiments, individual females of the different categories were given access for 4 h to oviposition substrate, soaked with (i) liver exudate, (ii) the exudate diluted 16-fold or (iii) the undilated exudate containing the oviposition deterrent sodium chloride at a concentration of 2 M. These solutions elicited oviposition from different proportions of females, but neither these proportions, nor the interval between introduction of the oviposition site and the initiation of oviposition, was significantly affected by the period of oviposition site-deprivation or the number of eggs matured by the females.
    Type of Medium: Electronic Resource
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  • 9
    Electronic Resource
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    Springer
    Entomologia experimentalis et applicata 55 (1990), S. 191-193 
    ISSN: 1570-7458
    Keywords: Protein acquisition ; ovarian development ; mating ; blowfly ; Lucilia cuprina
    Source: Springer Online Journal Archives 1860-2000
    Topics: Biology
    Type of Medium: Electronic Resource
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  • 10
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    Springer
    Computing 9 (1972), S. 175-187 
    ISSN: 1436-5057
    Source: Springer Online Journal Archives 1860-2000
    Topics: Computer Science
    Description / Table of Contents: Zusammenfassung Die Moore-Penrose verallgemeinerte Inverse einer Matrix ist sehr wichtig für die Anwendung aus der Sicht neuerer Entwicklungen in Regelungs-, Filter- und Schätz-Theorie und Zeichenerkennung. In der bisherigen Literatur scheint die zur Herleitung der verallgemeinerten Inversen verwendete Theorie die Grundeigenschaften der verallgemeinerten Inversen im Dunkeln gelassen zu haben. Diese Arbeit verwendet zur Herleitung der verallgemeinerten Inversen die klassische Minimisierungstheorie, welche allgemein bekannt ist und den Vorteil hat, daß die Anwendung klar als Teil der Herleitung erscheint. Die Ableitung liefert zwei simultane Matrixgleichungen, von denen gezeigt wird, daß sie äquivalent zu den vier Gleichungen sind, die Penrose für die Definition der verallgemeinerten Inversen verwendet. Diese zwei Gleichungen ermöglichen die direkte Berechnung der verallgemeinerten Inversen einer Matrix ohne zu gebräuchlichen Iterationsverfahren Zuflucht zu nehmen.
    Notes: Summary TheMoore-Penrose generalized inverse for the matrix, in the light of recent developments in control, filtering, estimation theory, and pattern recognition, has been shown to have a great deal of importance as far as applications are concerned. In the previous literature, the theory used to derive the generalized inverse seems to have obscured the fundamental properties of what the generalized inverse is. This paper gives an alternate method of deriving the generalized inverse using classical minimization theory which is familiar and has the advantage that the application of the generalized inverse is made clear as a part of the development. This derivation results in two simultaneous matrix equations which are then shown to be equivalent to the four equations used byPenrose to define the generalized inverse. These two equations make possible the direct calculation of the generalized inverse of matrix without resorting to conventional iterated computational schemes.
    Type of Medium: Electronic Resource
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