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    Springer
    European journal of orthopaedic surgery & traumatology 7 (1997), S. 89-94 
    ISSN: 1432-1068
    Keywords: Coral ; Arthrodesis ; Interbody ; Cervical spine ; Corail ; Rachis cervical ; Arthrod⪻se
    Source: Springer Online Journal Archives 1860-2000
    Topics: Medicine
    Description / Table of Contents: Résumé Nous avons utilisé le Corail du genre Acropora en cherchant à savoir si celui-ci est une alternative efficace à l'autogreffe dans les arthrodèses cervicales intersomatiques réalisées après ostéophytectomies transdiscales. Le choix du site cervical a été facilité pour nous par le fait que certains opérateurs, en particulier neurochirurgiens ont longtemps prôné l'abandon du site après extirpation discale ou ostéophytectomie, prétendant que la fusion ou la stabilisation s'obtiennent spontanément avec le temps, au prix souvent d'ailleurs d'un affaissement ou d'une déformation cyphotique. Le risque d'une pseudarthrose étant ainsi faible, nous avons pensé que l'introduction d'un greffon de corail allait d'une part maintenir la courbure lordotique cevicale et pourrait amener une fusion par résorption et remplacement osseux sans ajouter le moindre risque pour le patient par rapport à l'absence de greffe prônée par certains. De plus, l'addition systématique d'une ostéosynthése afin de bien caler le greffon corallien apporterait une stabilité immédiate, source d'indolence postopératoire, au plus grand bénéfice du patient. C'est lors de ces premières expérimentations cliniques que furent définies des conditions précises de pose: - avoir un espace de contact entre Pos spongieux et le corail le plus grand possible et stable ; - éviter les zones de glissement entre l'implant et l'os. En 1987 Vital et Sénégas publient des résultats encourageants des porites à court terme dans l'arthrodèse intersomatique cervicale (AIS). Mais en 1992 Sénégas à plus long terme [17] déplore un nombre trop important de pseudarthroses (3 sur 8) et une incorporation trop longue, lui faisant abandonner la technique. L'étude des mauvais résultats à permis d'évoquer les conditions qui aboutissent à ces situations: - la mobilité du greffon; - l'envahissement des pores par un liquide détruisant l'architecture corallienne (telle que la lidocaïne...) ou neutralisant l'envahissement (tel que le liquide synovial) ; - la destruction de l'architecture par des traumatismes (impaction, modelage per-op#x00E9;ratoire...) ne permet pas son intégration; - en cas de plaie dure-mérienne le greffon va absorber le liquide céphalorachidien, c'est donc une contre indication d'utilisation. Des greffes intersomatiques en corail de porosité 20 % furent mises en place dans notre Service à partir de janvier 1990 dans les ostéophytectomies transdiscales cervicales réalisées pour hernies discales dure (ostéophyte) ou molle présentant des signes de compression neurologiques (EMG positif). L'étude des 41 premiers patients opérés entre janvier 1990 et août 1993 nous a permis de trouver des résultats superposables aux résultats d'autres séries. Nous avons utilisé des greffons de taille 15 × 15 mm et de hauteur variant de 5 à 8 mm, d'abord en forme de haricot ramassé, forme existant telle quelle chez le fabricant. Nous avons ensuite conçu une forme mieux adaptée au rachis cervical. Le greffon fut toujours introduit à frottement dur sans impaction pour éviter une fracture du corail. Depuis mars 1993, nous utilisons des greffons massifs pour les corporectomies. L'étude des patients opérés nous a permis de classer l'évolution radiologique en trois étapes et de prouver l'absence de toute cyphose postopératoire. Le corail est à l'origine plus dense que l'os spongieux ce qui nous donne une image opaque du greffon corallien sur les clichés radiologiques. L'évolution dans le temps s'effectue donc comme suit: - Premier stade: à partir de 60 jours: Liseré périphérique correspondant à l'envahissement par un tissu conjonctif ostéoïde et rësorption périphérique par les ostéoclastes. Les clichés dynamiques montrent la stabilité du montage. - Deuxième stade: à partir de 120 jours: Aspect hétérogène avec un liseré partiel (bords frangés) en timbre poste correspondant aux ponts osseux en cours de minéralisation. - Troisième stade : à partir de 350 jours: Remplacement du squelette corallien par de l'os humain néoformé. La densité diminue pour atteindre la densité de l'os spongieux. Un nombre de 83 greffons en corail a été utilisé chez 79 patients pour 61 arthrodèses intersomatiques (AIS) et 22 corporectomies (CORP). Des 61 AIS, 60 sont exploitables car dans un cas, le greffon a été précocement enlevé (avant J 10) en raison d'une plaie de la duremère avec fuite de LCR non arrêtée à cause de la porosité du corail. De même, des 22 CORP, seules 19 sont exploitables, 3 greffons massifs ayant été êtés, deux fois précocement (avant J 10) pour plaie dure-mérienne non tarie du fait de la porosité du corail, une fois en raison d'un sepsis (au premier mois). Pour les 19 cas anciens, tous les stades I sont devenus des stades II ou III. Plusieurs cas de stades III avec recul de plus de 3 ans ont une réhabitation quasi totale. En conclusion, l'utilisation des biomatériaux ne peut être justifiée que par la diminution des inconvénients liés à l'autogreffe tout en conservant un résultat final comparable ou meilleur. Le choix du biomatériau fut pour nous guidé par sa résistance mécanique nécessaire à la réalisation d'arthrodèse en zone portante, sa biodégradabilité et son remplacement par un os néoformé. Le corail répond à ce cahier des charges. sa résistance pour le corail à 20% (Acropora) est supérieure à celle de l'os cortical, il est biodégradable et les produits de dégradation sont réutilisés pour former de l'os nouveau, l'ostéo-conduction de sa trame favorise la fixation des cellules ostéo-compétentes. Notre étude montre, à ce jour, une bonne stabilité du greffon, sans cyphose et avec une ostéo-intégration progressive.
    Notes: Summary The value of using biomaterials and especially coral in cervical spinal surgery is linked to a desire to eliminate the disadvantages associated with the taking of bone grafts in arthrodeses. A chemical, microscopic, biomechanical and clinical study of coral from 1970 has shown the value of this material, whose structure resembles that of bone, and which degrades completely to be replaced by newly-formed bone. Our initial results in 20 cases confirmed these findings by studying the progress of the coral: its good clinical tolerance, and its excellent radiologic incorporation without modification of spinal statics. Subsequently 83 cases have ben treated with this biomaterial, of which 45 were followed up. The results are satisfactory from both the clinical viewpoint (technques of transdiscal osteophytectomy) and the biomechanical aspect.
    Type of Medium: Electronic Resource
    Library Location Call Number Volume/Issue/Year Availability
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  • 2
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    Springer
    European journal of orthopaedic surgery & traumatology 3 (1993), S. 287-293 
    ISSN: 1432-1068
    Keywords: Corail ; Greffon intersomatique ; Arthrodèses cervicales ; Chirurgie ; Coral ; Graft ; Cervical spine ; Surgery
    Source: Springer Online Journal Archives 1860-2000
    Topics: Medicine
    Description / Table of Contents: Abstract The value of using biodegradable devices and particularly coral in cervical spine surgery is linked to the desire to supress the disadvantages of taking bone graft for arthrodeses (using the Robinson's technique), be it iliac, fibular or tibial. The chemical, microscopical, biomechanical and clinical study of coral since 1970 enabled us to show the value of a material whose structure resembles that of bone, degrading itself completely and being replaced by newly formed bone. Our first results in 37 cases confirm these data by studying the evolution of coral, the good clinical tolerance, its good radiological incorporation with no alteration of the static balance of the cervical spine. A literature review on the subject of the use of biodegradable devices shows the advantages and disadvantages of each explaining the reason for our choice.
    Notes: Résumé L'intérêt d'utiliser des biomatériaux et particulièrement du corail en chirurgie rachidienne cervicale est lié à la volonté de supprimer les inconvénients liés à la prise de greffe osseuse dans les arthrodèses, que cette greffe soit iliaque ou encore péronière ou tibiale. L'étude du corail depuis 1970, chimique, microscopique, biomécanique puis clinique a permis de montrer l'intérêt d'un matériau dont la structure rappelle celle de l'os, se dégradant complètement et étant remplacé par de l'os néoformé. Nos premiers résultats sur 37 cas revus confirment ces données en étudiant l'évolution du corail, sur la bonne tolérance clinique, sa bonne incorporation radiologique sans modification de la statique rachidienne. Une revue de la littérature au sujet des biomatériaux utilisés montre les avantages et les inconvénients de chacun expliquant le pourquoi de notre choix.
    Type of Medium: Electronic Resource
    Library Location Call Number Volume/Issue/Year Availability
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    Springer
    European journal of orthopaedic surgery & traumatology 7 (1997), S. 7-11 
    ISSN: 1432-1068
    Keywords: Intersomatic fusion ; Cervical spine ; Biomaterial ; Fusion intersomatique ; Rachis cervical ; Biomatériaux
    Source: Springer Online Journal Archives 1860-2000
    Topics: Medicine
    Description / Table of Contents: Résumé Ce sont les complications fréquentes de la prise de greffe sur la crête iliaque qui nous ont incité à concevoir notre implant. Non pas que nos prises de greffes se soient toutes compliquées d'hématomes, de douleurs du muscle moyen fessier (m. gluteus medius) ou de névralgie du nerf fémoro-cutané (n. femoralis later-alis), mais même sans aucune complication de ce type, il y a toujours une énorme différence entre l'intervention principale cervicale, pour laquelle en règle l'opéré est très satisfait car les nucalgies et les douleurs radiculaires ont en général disparu dès le premier jour post-opératoire et la crête iliaque qui est siège de douleurs et entraîne une boiterie. L'implant que nous avons conçu est constitué par un anneau métallique faisant cage pour un greffon artificiel et faisant corps avec une plaque d'ostéosynthèse portant 4 trous de vis, deux en haut et deux en bas. Ce greffon a été en alumine pour les premiers implants, de 1987 à 1994. Il est actuellement en hydroxyapatite ; de même, l'anneau et la plaque, en acier inoxydable pour les premiers implants, est actuellement en titane, donc “MRI-transparent”. Entre décembre 1986 et août 1995, nous avons posé 46 implants de fusion chez 45 patients. L'utilisation de notre prothèse de fusion intersomatique cervicale constitue une méthode simple d'arthrodèse cervicale après discectomie entre C3 et Th1. Elle évite une prise de greffe autologue. Elle donne une immédiate stabilité, raccourcit le temps opératoire ainsi que le séjour d'hospitalisation.
    Notes: Summary The frequent complications on the iliac crest graft prompted us to design our implant. Not all our graft harvests were complicated with haematomas, pain of the gluteus medius or of neuralgias of the lateral femoral cutaneous nerve, but even without any complication of this type, there is always an enormous difference between the main cervical intervention, with which as a general rule the patient is very satisfied as neck pains and radicular pains have in general disappeared from the first day post-operatively and that of the iliac crest which is the seat of pain leading to a limp. The implant we designed is constituted by a metallic casing ring for an artificial graft and joined to an osteosynthetic plate bearing four screw holes, two at the top and two at the bottom. This graft was in alumina for the fisrt implants, from 1987 to 1994. It is now in Hydroxyapatite; likewise, the ring and the plate, in stainless steel for the fisrt implants, is at present in titanium, therefore “MRI-transparent”. Between December 1987 and August 1995, we implanted 46 fusion implants in 45 patients. The use of our interbody fusion implant represents an easy method of cervical arthrodesis after discectomy between C3 and T1. It spares an autologous graft harvest. It gives immediate stability, shortens the operative as well as the hospitalization time.
    Type of Medium: Electronic Resource
    Library Location Call Number Volume/Issue/Year Availability
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  • 4
    Electronic Resource
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    Springer
    Langenbeck's archives of surgery 352 (1980), S. 435-443 
    ISSN: 1435-2451
    Keywords: Cervical spine ; Whiplash injury ; Vertebral artery ; Uncoforaminectomy ; Halswirbelsäule ; Schleudertrauma ; Arteria vertebralis ; Uncoforaminectomie
    Source: Springer Online Journal Archives 1860-2000
    Topics: Medicine
    Description / Table of Contents: Zusammenfassung Es bestehen 3 posttraumatische Cervicale Syndrome: ein lokales Syndrom (Genickschmerzen) bei 91 %, ein cervico-encephales Syndrom mit Kopfschmerzen (82,5 %), Schwindelanfälle (80%), Drop-attacks (44%), Sehstörungen (44%), Ohrenbrummen (40%): ein cervico-brachiales Syndrom (57,5 %). Als Behandlung wurden reine interkorporelle Fusionen (26 Fälle), mit anterolateralem Eingriff — kombinierte interkorporelle Fusionen (15 Fälle) und anterolaterale Eingriffe (Transversektomien, Uncusektomien und Uncoforamin ektomien) in 39 Fällen benutzt. Die Ergebnisse sind zufriedenstellend mit 83,5 % Erfolg.
    Notes: Summary Three post-traumatic cervical syndromes are studied: the local syndrome (neck pain), present in 91 %; the cervicocephalic syndrome with headache (82.5 %), vertigo (80 %), dropattacks (44%), visual troubles (44%), and tinnitus (40%0); and the cervicobrachial syndrome (57.5 %). Surgical management consists of: intercorporeal fusion (26 cases); intercorporeal fusion combined with anterolateral approaches (15 cases); and the anterolateral approach without fusion (transversectomies, uncusectomies, uncoforaminectomies) in 39 cases. The results are satisfactory, with a success rate of 83.5 %.
    Type of Medium: Electronic Resource
    Library Location Call Number Volume/Issue/Year Availability
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