ISSN:
1420-911X
Source:
Springer Online Journal Archives 1860-2000
Topics:
Medicine
Description / Table of Contents:
Résumé Dans les années 1961 et 1962, les quantités d'oxyde de carbone ont été mesurées a 9 carrefours très fréquentés de la ville de Zurich. En même temps on a déterminé la carboxy-hémoglobine dans le sang de 71 agents de police chargés de régler la circulation de ces carrefours, avant et après le service. Les moyennes d'oxyde de carbone obtenues sont, à quelques exceptions près, considérablement inférieures à la valeur MAK. Au carrefour Rämistrasse/Zeltweg on a constaté par moments des moyennes de 80–90 ppm avec des pointes allant jusqu'à 120 ppm. Pour l'interprétation des résultats de la carboxy-hémoglobine il était nécessaire de séparer les fumeurs des non-fumeurs, car les valeurs initiales des fumeurs étaient considérablement plus élevées. Vu que les saturations moyennes en carboxy-hémoglobine des valeurs finales ne dépassaient pas la limite toxique de 10%, la preuve du danger d'intoxication CO pendant le service n'a pas pu être apportée. Toutefois, il est à noter que 39 des 71 agents se plaignaient de maux de tête, de nausées et de manque d'appétit apres le service.
Notes:
Zusammenfassung In den Jahren 1961 und 1962 wurden an 9 verkehrsdichten Straßenkreuzungen der Stadt Zürich Kohlenoxydmessungen durchgeführt. Gleichzeitig ist bei 71 Polizisten, welche an diesen Kreuzungen Verkehrsdienst leisten, der Carboxyhämoglobingehalt des Blutes vor und nach Dienstantritt ermittelt worden. Die gefundenen Kohlenoxydmittelwerte liegen mit wenigen Ausnahmen bedeutend unter dem MAK-Wert, wobei aber an der Kreuzung Rämistraße/Zeltweg zeitweise Mittelwerte von 80–90 ppm mit Spitzen bis 120 ppm registriert wurden. Bei der Auswertung der Carboxyhämoglobin-Bestimmung war es notwendig, die Versuchspersonen in Raucher und Nichtraucher zu unterteilen, da die Raucher bedeutend erhöhte Anfangswerte aufweisen. Da die durchschnittliche Carboxyhämoglobin-Sättigung der Endwerte die toxische Grenze von 10% nicht überschritt, kann das Bestehen der Gefahr einer CO-Vergiftung infolge der Verkehrsdienstausführung nicht belegt werden. Immerhin mußte durch Befragen der 71 Verkehrspolizisten festgestellt werden, daß sich deren 39 über Beschwerden wie Kopfweh, Übelkeit und Appetitlosigkeit als Nachwirkung des Verkehrsdienstes beschwerten.
Type of Medium:
Electronic Resource
URL:
http://dx.doi.org/10.1007/BF02348996
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