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  • 1
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    Springer
    Diabetologia 3 (1967), S. 74-84 
    ISSN: 1432-0428
    Keywords: Spontaneous diabetes ; Chinese Hamster ; Cricetulus griseus ; Insulin in Plasma ; Insulin in pancreas ; Pancreas ; Free fatty acids ; Detection of diabetes ; Muscle metabolism ; Adipose tissue metabolism ; Liver glycogen
    Source: Springer Online Journal Archives 1860-2000
    Topics: Medicine
    Description / Table of Contents: Résumé Nous avons dépisté le diabète chez le hamster chinois par des dosages qualitatifs de la glucosurie. Nous avons ensuite caractérisé chaque cas par la mesure quantitative du glucose urinaire, par des surcharges au glucose et par le dosage de la glycémie à jeun et non à jeun, des corps cétoniques, des acides gras libres (AGL) plasmatiques, de l'insuline plasmatique et pancréatique, et des taux hépatiques de glycogène. En outre, nous avons mesuré l'utilisation du glucose par le diaphragme et le tissu adipeux épididymaire, avec et sans stimulation par l'insuline. Les animaux nécessitant l'administration d'insuline ont reçu leur dernière injection au moins 24 heures avant chaque étude. Les taux de glucose dans l'urine ont varié entre 51 et 1600 mg par 24 heures. Le test de surcharge au glucose s'est révélé nettement anormal chez les animaux diabétiques, la surcharge étant de 250 mg de glucose par kg de poids. Chez les diabétiques, la glycémie après surcharge est fortement variable, contrairement à l'uniformité de la réponse observée chez les non-diabétiques. Le glycogène hépatique à jeun est de 3, 1±1,0% pour les diabétiques, et de 0,4±0,7% de poids frais d'organes pour les non-diabétiques. Les taux plasmatiques des AGL et des corps cétoniques sont manifestement élevés chez les hamsters chinois diabétiques et cétosiques alors que le contenu en insuline du plasma et du pancréas est abaissé de façon marquée. Ceci n'a pas été observé chez les diabétiques moins sévères qui se rapprochent des non-diabétiques. Les AGL plasmatiques sont élevés chez tous les hamsters chinois (moyenne pour les non-diabétiques 1800μE/l, pour les diabétiques sévères 2800μE/l) Les taux d'AGL sont les mêmes à jeun et non à jeun chez les animaux non-diabétiques ou souffrant d'un diabète léger. L'utilisation du glucose par le muscle et le tissu adipeux du hamster diabétique ne diffère pas significativement de celle des tissus non-diabétiques et leur stimulation par l'insuline est semblable. L'insuline immunoréactive des hamsters traités à l'insuline reste élevée dans le plasma pendant plus de 26 jours après la dernière injection. — Ces observations semblent indiquer que le pancréas des hamsters chinois diabétiques sécrète plus difficilement de l'insuline en réponse à une stimulation par le glucose. Les taux normaux d'insuline plasmatique chez les hamsters avec un diabète léger, mais présentant pourtant une nette glucosurie, une hyperglycémie et une réponse anormale à la surcharge en glucose, suggèrent l'existence d'une interférence avec l'action normale de l'insuline et peut-être une augmentation de la production de glucose par le foie.
    Abstract: Zusammenfassung Beim chinesischen Hamster wurde der Diabetes durch qualitative Urinuntersuchungen auf Glucose aufgespürt. Es wurde dann jeder Fall näher charakterisiert durch quantitative Uringlucosebestimmungen, Glucosebelastungsproben und Messungen von Nüchtern- und Nichtnüchternwerten für Blutzucker, Blutketonkörper, freie Fettsäuren (FFS) und Insulin im Plasma, von Insulin im Pankreas, und von Nüchternwerten für Leberglykogen. Außerdem wurde der Glucoseverbrauch des Zwerchfells und des epididymalen Fettgewebes sowie mit, als auch ohne Insulin gemessen. Diejenigen Tiere, die Insulin erforderten, erhielten ihre letzte Injektion 24 Stunden vor dem Versuch. Glucosurie schwankte zwischen 51 und 1600 mg/24 Std. Bei einer Belastung von 250 mg/kg wiesen die diabetischen Tiere eine wesentlich verminderte Glucosetoleranz auf. Sie sprachen sehr unterschiedlich auf die Glucosebelastung an, während die nichtdiabetischen Tiere in ihrer Reaktion einheitlich waren. — Im Vergleich zu den nichtdiabetischen Hamstern, wo die Mittelwerte für Nüchternleberglykogen bei 0.4±0.7 Prozent des Frischlebergewichtes lagen, hatten die diabetischen Tiere einen Glykogengehalt der Leber von 3.1±1.0 Prozent. — Chinesische Hamster mit schwerem Diabetes haben deutlich erhöhte FFS-Werte und Ketonkörper, sowie einen wesentlich niedrigeren Plasma- und Pankreasinsulinspiegel. Bei Tieren mit leichter Diabetes hingegen sind diese Untersuchungen, im Vergleich zu den Kontrolltieren, unverändert. Alle chinesischen Hamster haben hohe Plasma-FFS-Werte (nichtdiabetische 1800μE/L, schwer diabetische 2800μE/L). Nüchtern- und Nichtnüchternwerte für FSS sind beim leicht diabetischen oder gesunden Tier etwa gleich hoch. Der Glucoseabbau durch Muskel- und Fettgewebe des diabetischen und nichtdiabetischen Hamsters unterscheidet sich nicht sehr, und beide Gruppen sprechen ungefähr gleich stark auf Insulinstimulierung an. Das im Plasma der insulinbehandelten Tiere vorkommende immunreaktive Insulin ist noch 26 Tage nach der letzten Injektion nachweisbar. — Diese Ergebnisse lassen vermuten, daß der Pankreas des diabetischen Hamsters nur schwerlich in der Lage ist, nach einer Glucosestimulierung Insulin auszuschütten. Die Beobachtung, daß der Plasma-Insulinspiegel im leichten Diabetes normal ist, diese Tiere jedoch Glucosurie, Hyperglykämie und abnormale Glucosetoleranz aufweisen, führt zu der Annahme, daß ein leichter Diabetes beim chinesischen Hamster eine Beeinträchtigung der Insulinwirkung mit sich bringen, und Ursache einer vermehrten Glucoseproduktion durch die Leber sein kann.
    Notes: Summary Diabetes in Chinese hamster was initially detected by qualitative tests for urine glucose. The disease was characterized by quantitating urine glucose, glucose tolerance tests and measurement of fasting and nonfasting blood sugar, blood ketones, plasma free fatty acids (FFA), plasma insulin, pancreatic insulin and fasting levels of liver glycogen. In addition, basal levels of glucose utilization by diaphragms and epididymal adipose tissue and the response of these tissues to insulin was measured. Those animals requiring insulin received their last injection 24 hours prior to study. Glucosuria varied from 51 to 1600 mg/24 hours. Diabetics had significantly decreased tolerance to a 250 mg/kg glucose load. The response varied considerably in diabetics but was uniform in the nondiabetics. Diabetics had mean fasting liver glycogen levels of 3.1±1.0 compared with 0.4± 0.7 percent of fresh liver weight for nondiabetics. Severely ketotic, diabetic Chinese hamsters had significantly elevated FFA and ketone levels and significantly lower plasma and pancreatic insulin levels but mild diabetics did not differ from controls with respect to these parameters. All Chinese hamsters had high plasma FFA levels (nondiabetics 1800μE/l, severe diabetics 2800μE/l. Fasting and nonfasting FFA levels did not differ in mild diabetic and nondiabetic animals. Muscle and adipose tissues from diabetic hamsters had basal rates similar to nondiabetics and had similar responses to insulin. Hamsters maintained on insulin had greatly elevated immunoreactive insulin levels in their plasma, which persisted for 26 days. — The data suggest that severely diabetic hamsters may have a decreased ability of the pancreas to secrete insulin in response to a glucose stimulus. The observations that plasma insulin levels are normal in mild diabetics but that these animals have glucosuria, hyperglycemia and abnormal glucose tolerance suggest that mild diabetes in the Chinese hamster may involve interference with insulin action and/or increased hepatic glucose output.
    Type of Medium: Electronic Resource
    Library Location Call Number Volume/Issue/Year Availability
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  • 2
    ISSN: 1432-0428
    Keywords: Spontaneous Diabetes ; Spiny mice ; Acomys cahirinus ; Obesity ; Pancreas ; Ultrastructure ; Beta cells ; Insulin in pancreas ; Glycogen ; Islets of Langerhans ; Endo-exocrine cells
    Source: Springer Online Journal Archives 1860-2000
    Topics: Medicine
    Description / Table of Contents: Résumé L'Acomys Cahirinus ou souris à piquants est un rongeur vivant dans les régions semi-désertiques de l'est de la Méditerranée. La découverte d'un diabète spontané chez certains de ces animaux a fait entreprendre l'élevage d'une colonie dans laquelle ce syndrome s'est maintenu jusqu'à maintenant. Il atteint environ 15% des animaux, qu'ils soient obèses ou non. Il apparaît sur un terrain insulaire très particulier puisque le pancréas endocrine montre une hyperplasie très importante jusqu'à constituer 15% du pancréas total. Cette hyperplasie existe chez tous les animaux, hyperglycémiques ou non. — L'étude au microscope électronique est encore trop incomplète pour une analyse corrélative détaillée entre les données métaboliques et morphologiques. Elle permet toutefois de décrire les différentes structures cellulaires de l'Acomys ainsi que leurs modifications dans les conditions pathologiques. Les changements du complexe de Golgi et des mitochondries et certains aspects plus pathologiques,comme l'accumulation de glycogène, sont décrits ainsi que des images plus particulières à l'Acomys, telles les confluences de vésicules et les cellules hypergranulées. — L'extrême hyperplasie du pancréas endocrine de la souris à piquants s'accompagne à son niveau d'un grand polymorphisme cellulaire. Les différentes cellules ainsi observées sont interprétées comme des aspects de différents moments physiologiques et non comme des types cellulaires particuliers. Ces données font conclure à la non-existence d'autres entités cellulaires que les cellules A, B et éventuellement D. Un aspect particulièrement intéressant de la souris à piquants est celui dela présence de cellules mixtes. Cette image est discutée dans le cadre très particulier du syndrome diabétique observé chez l'Acomys.
    Abstract: Zusammenfassung Acomys cahirinus, die Stachelmaus, ist ein kleines Nagetier, das in den an die Wüste grenzenden Gegenden des östlichen Mittelmeerraumes lebt. Da in dieser Tierart Spontandiabetes auftritt, zumindest in Laboratoriumszucht, halten wir dieses Tier am Institut de Biochimie Clinique seit etwas mehr als drei Jahren. Diabetes mellitus tritt bei ungefähr 15% der Tiere die ein Jahr alt werden ein; einige davon sind fettsüchtig, nicht aber alle. Diabetes erscheint trotz einer sehr stark entwickelten Hyperplasie der Langerhans'schen Inseln, die bis zu 15% des erwachsenen Organs ausmachen können! Diese Hyperplasie ist bei allen Tieren zu sehen, unabhängig davon ob eine diabetische Stoffwechselstörung vorliegt oder nicht. Mit dem Elektronenmikroskop haben wir die Langerhans'schen Inseln von 22 Stachelmäusen untersucht und berichten hier über die verschiedenen beobachteten Zelltypen, zu verschiedenen Zeitpunkten der Entwicklung der diabetischen Stoffwechselstörungen. Befunde an den B-Zellen dieser Tierart betreffen die hochgradige Entwicklung des Golgi Apparates, die große Unterschiedlichkeit und manchmal extreme Glycogen-Ablagerung in diabetischen Tieren, die häufige Verschmelzung der Membranen der Granula, und das Auftreten von ganz übermäßig hypergranulierten Zellen. — Die Hyperplasie der Langerhans'schen Inseln in Stachelmäusen geht mit einem betrachtenswerten zellulären Polymorphismus einher. Die Autoren sind jedoch nicht der Meinung, daß diese Befunde auf das Vorhandensein von vielen verschiedenen Zelltypen in diesen Inseln deutet. Es scheint ihnen viel wahrscheinlicher, daß es sich um verschiedene funktionelle Zustände einer kleinen Anzahl von Zelltypen handelt, wobei nur A, B, und vielleicht D Zellen mit Sicherheit als identifiziert gelten können. Ein besonders frappanter Aspekt dieses zellulären Polymorphysmus istdie häufige Beobachtung von gemischten oder Intermediärzellen (exokrin-endokrin sowie auch endokrin A-B). Diese Beobachtung wirft die Frage auf ob die Stimulation, die zu der Hyperplasie des endokrinen Systems in dieser Tierart führt, vielleicht mit einer Verminderung der nuklearen Hemmung, die bei voll differenzierten Zellen die Regel ist, einhergehen könnte.
    Notes: Summary Acomys Cahirinus, the spiny mouse, is a small rodent living in the semi-desertic areas of the Eastern Mediterranean. The observation that diabetes may occur spontaneously in this species, at least under laboratory conditions, has led to its breeding at the Institut de Biochimie Clinique, where a colony has been maintained over the last 3 years. Diabetes occurs in approximately 15% of the animals reaching one year of age; some of these are obese, but not all. Diabetes occurs in the presence of, and despite a striking hyperplasia of the endocrine pancreas, which may make up as much as 15% of the total organ in adult mice. This hyperplasia is present in all animals, whether hyperglycemic or not. — The islets of Langerhans of 22 spiny mice have been examined with the electron microscope and form the basis for an analysis of the different cell types observed, at different times relative to the onset of diabetes. Findings in the B cells of this species have included the generally high degree of development of the Golgi complex, the great variability of glycogen accumulation in diabetic animals, the frequent fusion of the granular sacs, and the occurrence of grossly hyper-granulated cells. — The hyperplasia of the islets of Langerhans in spiny mice is associated with a remarkable cellular polymorphism. However, the authors do not feel that this is the result of the presence in these islets of many distinct cell types. It would seem much more likely, that they represent different functional states of a small number of distinct types of cells, among which only A, B and perhaps D cells have been securely identified. Another feature of this cellular polymorphism is thefrequent presence of mixed or intermediate cells (exocrine-endocrine, or endocrine A-B), which suggests that the stimulation leading to hyperplasia of the endocrine cells in this species might result in the removal of some part of the nuclear inhibition usually associated with fully differentiated cells.
    Type of Medium: Electronic Resource
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  • 3
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    Springer
    Diabetologia 3 (1967), S. 238-248 
    ISSN: 1432-0428
    Keywords: Spontaneous Diabetes ; Genotype: C57BL/K5-db ; Diabetes in mice ; Mutation: diabetes ; Obesity ; Prediabetes ; Insulin in plasma ; Insulin in pancreas ; Islets of Langerhans ; Pancreas ; Insulin resistance ; Glucose utilization ; Gluconeogenesis
    Source: Springer Online Journal Archives 1860-2000
    Topics: Medicine
    Description / Table of Contents: Résumé La mutation, diabète (db), a été observée dans la souche de souris C57BL/Ks. C'est un gène autosomal récessif avec pénétrance complète, et qui mène chez les homozygotes à un trouble métabolique ressemblant au diabète sucré chez l'homme. Une accumulation excessive de graisses se produit à l'âge de 3–4 semaines et est bientôt suivie par l'apparition d'hyperglycémie, de polyurie et de glucosurie. L'évolution clinique suit ensuite deux étapes. Durant la première, les taux d'insuline plasmatique sont élevés et la lipogénèse, la gluconéogénèse, ainsi que l'oxydation du glucose sont accélérées; il y a diminution de la granulation des cellulesβ et d'autres altérations suggérant l'existence d'une compensation d'un état nécessitant une utilisation insulinique accrue. La deuxième étape, par contre, est caractérisée par des taux normaux d'insuline plasmatique, avec diminution marquée de l'utilisation du glucose malgré la persistance d'une gluconéogénèse nettement exagérée. Ces observations nous semblent indiquer l'existence d'une utilisation défectueuse de l'insuline à la périphérie, plutôt qu'une anomalie primaire de la synthèse ou de la libération de l'hormone au niveau du pancréas.
    Abstract: Zusammenfassung Die Mutation Diabetes (db), die in dem Mäusestamm C57BL/Ks auftritt, ist ein autosomales rezessives Gen mit voller Penetranz und verursacht bei homzygoten Mäusen eine dem im Menschen auftretenden Diabetes mellitus ähnliche Stoffwechselstörung: übermäßige Ablagerung von Fett im Alter von 3–4 Wochen, mit anschließender Hyperglykämie, Polyurie und Glucosurie. Der klinische Verlauf erfolgt dann in zwei Phasen. In der ersten Phase ist ein wesentlicher Anstieg der Plasmainsulinwerte im Vordergrund, mit Beschleunigung von Lipogenese, Gluconeogenese und Glucoseoxydation. Das Abnehmen der Granula in denβ-Zellen der Langerhansschen Inseln und andere Veränderungen deuten auf eine Anpassung an einen steigenden Insulinbedarf. In der zweiten Phase, dagegen, sind die Insulinspiegel eher normal, und der Glucoseverbrauch nimmt ab, bei Weiterbestehen der beschleunigten Gluconeogenese. Diese Ergebnisse deuten eher auf eine mangelhafte periphere Insulinwirkung als auf eine ungenügende Synthese der Ausschüttung des Hormones durch das Pankreas.
    Notes: Summary The mutation, diabetes (db), that occurred in the C57BL/Ks strain of mice is a unit autosomal recessive gene with full penetrance, and causes metabolic disturbances in homozygous mice resembling diabetes mellitus in man. Abnormal deposition of fat at 3 to 4 weeks of age is followed by hyperglycemia, polyuria and glycosuria. The diabetic condition appears to develop in two stages. In the early stage, there are marked increases in the levels of plasma insulin, the rates of lipogenesis, gluconeogenesis, and glucose oxidation, and there is a reduction ofβ-cell granules in the islet of Langerhans with other changes suggestive of a compensating adaptation to increased insulin demand. On the other hand, the late stage is characterized by a near normal level of circulating insulin, a marked decrease in glucose utilization but with a continued high rate of gluconeogenesis. These findings suggest a defect in the peripheral utilization of insulin rather than in the synthesis and release of the hormone from the pancreas.
    Type of Medium: Electronic Resource
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  • 4
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    Springer
    Diabetologia 3 (1967), S. 249-265 
    ISSN: 1432-0428
    Keywords: Spontaneous Diabetes ; Dog ; Cat ; Diabetes in dogs and cats ; Pancreas ; Islets of Langerhans ; B cells ; Insulitis ; Hyalin ; Capillaries ; Kidney ; Retina ; Microaneurysms ; Pituitary
    Source: Springer Online Journal Archives 1860-2000
    Topics: Medicine
    Description / Table of Contents: Résumé Les auteurs présentent une étude histopathologique de 30 chiens et de 5 chats spontanément diabétiques. — Les îlots de Langerhans et les cellules B étaient fortement diminués en nombre chez la grande majorité des chiens. Les cellules B étaient souvent dégranulées et hydropiques. Chez les chiens dont le diabète avait évolué pendant longtemps, les îlots étaient très rares et les cellules B absentes. — Chez les 5 chats spontanément diabétiques par contre, les îlots et les cellules B étaient nombreuses. Les cellules B étaient dégranulées et hydropiques chez 4 chats. Chez 1 des chats, les cellules B paraissaient normales. De nombreux îlots présentaient des dépôts de substance hyaline dans le stroma. Chez un chat, il existait une infiltration lymphocytaire très dense dans un îlot. — Ni chez les chiens, ni chez les chats, il n'a été vu de lésions glomérulaires identiques à celles de glomérulosclérose diabétique humaine. Les lésions les plus fréquentes consistaient en un épaississement des axes membraneux des touffes glomérulaires et une hypertrophie de la paroi des artérioles afférentes.— Dans les rétines des chiens diabétiques il existait une acellularité focale ou généralisée de la paroi des capillaires. Un petit nombre de microanévrysmes ont été trouvés chez 3 chiens diabétiques. L'incidence plus faible des lésions de rétinopathie vasculaire, comparativement aux diabétiques humains, s'explique probablement par la durée de vie plus courte du chien et du chat. Il est possible aussi que les capillaires rétiniens de ces animaux soient moins susceptibles de développer des lésions dégénératives. — Un degré marqué de stéatose hépatique a été observé chez beaucoup de chiens et de chats. Les surrénales étaient souvent hypertrophiées et contenaient des adénomes, mais ces lésions ne paraissent pas différentes de celles que l'on peut trouver chez des chiens et des chats non diabétiques de même âge. L'hypophyse a été prélevée chez 7 chiens. Dans 2 cas, elle contenait un adénome. Une étude cytologique plus complète des hypophyses sera publiée ultérieurement.
    Abstract: Zusammenfassung Die Autoren berichten über die Ergebnisse von Untersuchungen an 30 spontan-diabetischen Hunden und 5 spontan-diabetischen Katzen. Bei der großen Mehrzahl der diabetischen Hunde war die Zahl der Langerhansschen Inseln und der B-Zellen stark herabgesetzt. Die B-Zellen waren oft degranuliert und hydropisch. Bei Hunden mit schon lang anhaltender Krankheit waren die Inseln nur noch vereinzelt und B-Zellen überhaupt nicht mehr nachweisbar. — Im Gegensatz zu diesen Ergebnissen fanden sich bei allen 5 Katzen zahlreiche Inseln und B-Zellen. Bei 4 dieser Katzen jedoch waren die B-Zellen, wie bei den Hunden, degranuliert und hydropisch entartet. Bei einer Katze war das Aussehen der B-Zellen normal. Im Stroma der Inseln von 2 Katzen konnten starke Hyalinablagerungen nachgewiesen werden. In einem Falle zeigten die Inseln eine starke lymphocytäre Infiltration. — Weder bei den Hunden noch bei den Katzen waren typische Läsionen der Glomeruli, wie sie bei der Glomerulosklerose des menschlichen Diabetes auftreten, nachweisbar. Die häufigsten Veränderungen bestanden aus einer mehr oder weniger ausgeprägten Verdickung des mesangialen Teils der Kapillaren der Glomeruli und aus einer Hypertrophie der Wand der zuführenden Arteriolen. Bei einigen Hunden und Katzen bestanden auf chronische Pyelonephritis zurückführende Narben. — In der Retina der diabetischen Hunde waren zellenlose und funktionslose Kapillaren vorhanden, und degenerierte Pericyten (“ghostcells”) waren häufiger als bei normalen Hunden. In drei Hunden wurden einige Mikroaneurismen beobachtet. Daß diese für die Retinopathie des Diabetes typischen Läsionen beim Hund verhältnismäßig selten auftreten könnte mit der kürzeren Lebensdauer der Krankheit bei diesen Tieren zusammenhängen. Es ist jedoch nicht ausgeschlossen, daß die Retina von Hunden und Katzen weniger zu degenerativen Veränderungen neigt. — In der Leber vieler Hunde und Katzen wurde eine schwere Steatose beobachtet. In vier Hunden zeigte sich beginnende Lebercirrhose. In diabetischen Hunden und Katzen waren die Nebennieren oft hypertrophisch und enthielten Adenome, die allerdings auch bei nichtdiabetischen alternden Hunden beobachtet wurden. In 2 von 7 Hypophysen diabetischer Hunde fanden sich Adenome, über deren cytologische Untersuchung in einer späteren Veröffentlichung berichtet wird.
    Notes: Summary A histological study of 30 spontaneously diabetic dogs and 5 spontaneously diabetic cats is presented. — The islets of Langerhans and the B cells were strongly reduced in number in a large majority of the diabetic dogs. The B cells were often degranulated and hydropic. In cases of longer duration, the islets were scarce and B cells could no longer be found. — In contrast to the findings in diabetic dogs, all five cats showed numerous islets and B cells. However in 4 cats, the B cells showed complete degranulation and hydropic changes, as in the dogs. In one cat, the B cells had a normal appearance. Extensive hyalin deposits were found in the stroma of the islets in 2 cats. In one cat, an islet showed a dense lymphocytic infiltration. — No lesions identical to human diabetic glomerulosclerosis were found in any of the dogs or cats. The changes most frequently observed were a variable degree of thickening of the mesangial stalk of the glomerular capillaries, and an hypertrophy of the wall of the afferent arteriole. Scars resulting from chronic pyelonephritis, were found in a few dogs and cats. — Acellular, non-functional capillaries, with degeneration of pericytes (“ghost-cells”) were found in larger numbers in the retinas of the diabetic dogs than in non-diabetic control dogs. A very few microaneurysms could be found in 3 dogs. The lower incidence of the most typical lesions of diabetic retinopathy in dogs, as compared with the human diabetic, is probably related to the shorter duration of the disease in these animals. However, a lower susceptibility of the retina of dogs and cats to develop degenerative changes cannot be excluded. — A severe steatosis was observed in the liver of many dogs and cats. In 4 dogs, the liver showed early cirrhosis. In diabetic dogs and cats, the adrenal cortex often showed hypertrophy and contained adenomas; however, these changes have also been reported in non-diabetic aging dogs. An adenoma was found in 2 of the 7 pituitaries obtained from diabetic dogs; the cytological aspect of these adenomas and of the pituitaries will be reported in a later publication.
    Type of Medium: Electronic Resource
    Library Location Call Number Volume/Issue/Year Availability
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  • 5
    Electronic Resource
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    Springer
    Diabetologia 3 (1967), S. 47-49 
    ISSN: 1432-0428
    Keywords: Calcium ; Magnesium ; Insulin ; Secretion Rabbit ; Pancreas ; Foetus
    Source: Springer Online Journal Archives 1860-2000
    Topics: Medicine
    Description / Table of Contents: Résumé Le glucose, le glucagon, le tolbutamide et la L-leucine stimulent la libération d'insuline par le pancréas de lapin étudié in vitro. Cette stimulation n'a pas lieu lorsque le milieu d'incubation est préparé sans calcium. L'absence de magnésium n'a pas d'effet sur la sécrétion insulinique stimulée par le glucose, alors que le magnésium à la concentration de 10mM exerce un effet inhibiteur. La concentration optimale du calcium extracellulaire pour la sécrétion insulinique est de 2.64 mM. La stimulation de la sécrétion insulinique par le glucose est également supprimée par l'absence de calcium pour le pancréas de foetus de lapin âgé de 27 jours.
    Abstract: Zusammenfassung Die Freisetzung von Insulin aus Kaninchen-Pankreas in vitro wird durch Glucose, Glucagon, Tolbutamid oder L-Leucin stimuliert. In allen diesen Fällen bleibt die Stimulation in Abwesenheit von Calcium in Inkubationsmedium aus. In Abwesenheit von Magnesium stimulierte Glucose die Insulinsekretion weiter, währenddem eine Erhöhung der Magnesiumkonzentration auf 10 mM deutlich hemmend wirkte. Die optimale Sekretion von Insulin erfolgte bei einer Calciumkonzentration von 2.64 mM. In Abwesenheit von Calcium wurde die Freisetzung von Insulin auch aus dem Pankreas von 27 Tage alten Foeten gehemmt.
    Notes: Summary Glucose, glucagon, tolbutamide and L-leucine stimulated insulin secretion from rabbit pancreas studiedin vitro. In each case stimulation was inhibited by omitting calcium from the incubation medium. The omission of magnesium had no effect on glucose stimulated insulin secretion but 10 mM magnesium inhibited secretion. Optimal secretion of insulin occurred at an extracellular calcium concentration of 2.64 mM. The omission of calcium inhibited glucose-stimulated insulin secretion from pancreas of 27 day rabbit foetuses.
    Type of Medium: Electronic Resource
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  • 6
    ISSN: 1432-0428
    Keywords: Spontaneous diabetes ; Chinese hamster ; Cricetulus griseus ; Ultrastructure ; Pancreas ; Beta cells ; Islets ; Alpha cells ; Nerve endings in pancreas ; Glycogen ; Basement membrane ; Capillaries
    Source: Springer Online Journal Archives 1860-2000
    Topics: Medicine
    Description / Table of Contents: Résumé Nous avons examiné au microscope électronique les îlots de Langerhans de 15 hamsters chinois dont 7 étaient diabétiques et 8 étaient non-diabétiques, provenant soit des mêmes nichées, soit sans lien de parenté, mais concordant quant au sexe et à l'âge. Chez les animaux de contrôle, les cellulesβ prédominent et sont riches en granules, formés de vésicules de différentes tailles avec un contenu légèrement granulaire ou homogène. Dans de rares vésicules, on observe un noyau dense ou une barre centrale irrégulière et dense. Les granulations des cellulesα sont uniformément rondes, très denses et limitées par des membranes; elles sont assez clairsemées à l'exception de la périphérie des îlots. Au début du diabète, les cellulesβ sont abondantes mais, soit dégranulées, soit en voie d'infiltration glycogénique. Plus tardivement dans la maladie, les îlots ne contiennent presque que des cellulesα, les cellulesβ ayant graduellement disparu.
    Abstract: Zusammenfassung Die Langerhans'schen Inseln von 15 chinesischen Hamstern (7 diabetischen und 8 entweder verwandten oder nicht verwandten Kontrolltieren gleichen Geschlechts und Alters) wurden elektronenmikroskopisch untersucht. In den Kontrolltieren überwiegen dieβ-Zellen die reich an Granula sind. Die meisten davon sind Bläschen verschiedener Größe mit einem blassen, körnigen oder homogenen Inhalt. Nur einige weisen einen dichten zentralen Kern auf oder einen unregelmäßigen dichten zentralgelegenen Stab. Dieα-Zellen haben einheitlich runde und dichte, durch eine Membrane begrenzte Granula und sind spärlich verteilt, außer an der Peripherie der Inseln. Im frühen Diabetes mellitus sind dieβ-Zellen in großer Zahl vorhanden aber erscheinen entweder degranuliert oder in verschiedenen Phasen der Glykogenablagerung. In späteren Stadien der Krankheit, als Folge des allmählichen Verschwindens derβ-Zellen, bestehen die Inseln fast nur noch ausα-Zellen.
    Notes: Summary Islets of Langerhans of 15 Chinese hamsters (7 diabetic and 8 either related or unrelated controls of the same sex and age) have been examined by electron microscopy. Beta cells of control animals predominate and have abundant granules most of which are vesicles of varying sizes with a pale granular or homogeneous content. Only a few have a dense central core or irregular dense central bar. Alpha cells have uniformly round, dense, membrane-limited granules and are sparse except at the periphery of the islet. Early in diabetes mellitus beta cells are abundant but either agranular or in various stages of glycogen storage. Late in the disease the islets are reduced to almost all alpha cells, the beta cells having gradually disappeared.
    Type of Medium: Electronic Resource
    Library Location Call Number Volume/Issue/Year Availability
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  • 7
    ISSN: 1432-0428
    Keywords: Spontaneous Diabetes ; Chinese hamster ; Cricetulus griseus ; Islet volume ; Beta cell volume ; Pancreas ; Beta cells ; Prediabetes ; Preclinical diabetes
    Source: Springer Online Journal Archives 1860-2000
    Topics: Medicine
    Description / Table of Contents: Résumé Nous avons étudié 3 groupes de hamsters chinois de la colonie des laboratoires Upjohn, soit (1) des animaux diabétiques ayant présenté des symptômes pendant 18 mois; (2) des animaux non-diabétiques des mêmes nichées; et (3) des animaux non-diabétiques et non-apparentés mais concordant par l'âge et le sexe. Le diabète spontané de ces animaux est caractérisé par une hyperglycémie, une glucosurie, une diminution du volume des îlots de Langerhans, une diminution du volume total des cellulesβ, une dégranulation des cellulesβ et l'infiltration en glycogène des îlots de Langerhans. Des anomalies de même type, mais moins marquées ont été observées chez les frères et soeurs des animaux diabétiques. A notre connaissance, c'est là la première description de la diminution de la masse des cellulesβ et de leur dégranulation avant l'apparition clinique d'un diabète spontané chez l'homme ou l'animal. Il en ressortirait que cette altération des cellulesβ pourrait bien être un mécanisme étiologique primaire de la pathogénèse du diabète spontané du hamster chinois.
    Abstract: Zusammenfassung Drei Gruppen von chinesischen Hamstern aus der Upjohn-Zucht wurden untersucht. Dazu gehörten: diabetische Tiere, die seit 18 Monaten Symptome aufwiesen, nichtdiabetische Tiere aus gleichem Wurf und nichtverwandte nichtdiabetische Tiere, die in Alter und Geschlecht den anderen entsprachen. Der Spontandiabetes zeichnet sich aus durch Hyperglykämie, Glykosurie, Abnahme des Inselvolumens, Verminderung derβ-Zellmasse, Degranulierung derβ-Zellen und Glykogeninfiltration der Inseln. In den nichtdiabetischen Geschwistertieren wurden ähnliche aber weniger markante Veränderungen festgestellt. Unseres Wissens ist dies der erste Bericht einer Verringerung derβ-Zellmasse mit Degranulierung noch ehe sich ein Spontandiabetes bei Mensch oder Tier manifestiert. Dies deutet darauf daß diese Veränderungen derβ-Zellen einen primären etiologischen Faktor bei der Entstehung des Spontandiabetes beim chinesischen Hamster darstellen könnten.
    Notes: Summary Three groups of Chinese hamsters bred at the Upjohn Laboratory were studied: these included diabetic animals in which symptoms were present for 18 months, non-diabetic siblings and non-related, non-diabetic animals of the corresponding age and sex. The spontaneous diabetes is characterized by hyperglycemia, glycosuria, decreased islet volume, decreased beta cell mass, beta cell degranulation and glycogen infiltration in the islets. In the non-diabetic siblings, similar but less marked changes were noted. To our knowledge this is the first reported observation of decreased beta cell mass and beta cell degranulation occurring prior to clinical onset of spontaneous diabetes in man or animal. It suggests that the observed alteration of beta cells is a primary etiologic mechanism in the production of spontaneous diabetes in the Chinese hamster.
    Type of Medium: Electronic Resource
    Library Location Call Number Volume/Issue/Year Availability
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  • 8
    ISSN: 1432-0428
    Keywords: Spontaneous diabetes ; Sand rat ; Psammomys obesus ; Insulin in plasma ; Insulin resistance ; Acetohexamide ; Diet and diabetes ; Nutrition and diabetes ; Obesity ; Pancreas ; Infections ; Adipose tissue in vitro
    Source: Springer Online Journal Archives 1860-2000
    Topics: Medicine
    Description / Table of Contents: Résumé Certaines caractéristiques particulières du rat des sables en font un animal d'expérience de grande valeur. L'augmentation des taux plasmatiques d'insuline et de glucose est liée chez lui à une augmentation de la prise de nourriture. Tout comme c'est le cas pour le diabète humain de type adulte, il semble y avoir participation d'un élément de résistance à l'insuline qui peut être mis en évidencein vitro par la sensibilité diminuée du tissu adipeux du rat des sables à l'insuline de porc. Il semblerait qu'un traitement prophylactique par l'acétphexamide exerce un effet protecteur contre l'effet diabétogène d'un régime riche en calories. — Il semble raisonnable de penser que le syndrome diabétique du rat du sable, si facilement provoqué par la modification du régime, pourrait s'avérer être un instrument de grande valeur dans l'étude des mécanismes pathogénétiques possibles du syndrome diabétique.
    Abstract: Zusammenfassung Die Sandratte verfügt über mehrere einmalige Eigenschaften, die aus ihr ein wertvolles Laboratoriumstier machen. Das häufige Auftreten von erhöhtem Plasma-Insulinspiegel und Hyperglykämie steht im Zusammenhang mit einer gesteigerten Nahrungsaufnahme. Wie im menschlichen Reife-Diabetes scheint auch hier eine Insulinresistenz aufzutreten, und diese istin vitro nachweisbar: das inkubierte Fettgewebe der Sandratte spricht auf eine Stimulierung mit steigenden Dosen von Schweineinsulin nur wenig an. Prophylaktische Behandlung mit Acetohexamid deutet auf eine Schutzwirkung gegen die diabetogenen Folgen einer kalorienreichen Diät. — Es ist zu erwarten, daß das diabetische Syndrom in der Sandratte, das so leicht durch Manipulationen der Diät erzeugt werden kann, ein nützliches Modell zur Untersuchung der möglichen Mechanismen der diabetischen Pathogenese darstellen wird.
    Notes: Summary The sand rat has some unique attributes, which make it a valuable experimental animal. The occurrence of increased plasma insulin levels and of hyperglycemia is linked to an increased food intake. As in the human maturity-onset type diabetes, there seems to be an element of insulin resistance, and this can be demonstratedin vitro by the relative unresponsiveness of sand rat adipose tissue to increasing doses of pork insulin. Prophylactic treatment with acetohexamide seems to have some protective effect against the diabetogenic results of a high calory diet. — It is expected that the diabetic syndrome in sand rats, which can be so easily induced by dietary manipulation, will be a valuable tool in helping to clarify some of the possible mechanisms in the syndrome of diabetes mellitus.
    Type of Medium: Electronic Resource
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  • 9
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    Springer
    Diabetologia 3 (1967), S. 143-166 
    ISSN: 1432-0428
    Keywords: Spontaneous Diabetes ; Sand rat ; Psammomys obesus ; Pancreas ; Ultrastructure ; Beta cells ; Alpha cells ; Protein synthesis ; Insulin in plasma ; Insulin in pancreas ; Obesity ; Nutrition and diabetes ; Diet and diabetes
    Source: Springer Online Journal Archives 1860-2000
    Topics: Medicine
    Description / Table of Contents: Résumé Nous avons étudié avec les microscopes optique et électronique les îlots de Langerhans du pancréas de rats des sables normaux et diabétiques. Lorsqu'ils sont maintenus à un régime normal de laboratoire, on observe chez ces animaux une dégranulation des cellulesβ et les signes d'une synthèse protéique augmentée. Dès qu'apparaît le diabète, on voit apparaître une infiltration glycogénique avec déplacement des organelles cellulaires et, plus tard, une dégénérescence cyptoplasmique avec liquéfaction. L'apparition de ces anomalies morphologiques a été mise en corrélation avec les altérations du glucose sanguin et de l'insuline immunoréactive sérique. Ce qui est remarquable chez le rat des sables, c'est qu'il ne semble pas être à même de s'adapter à l'apport calorique plus concentré de la nourriture de laboratoire. Il réagit par une surproduction insulinique, surproduction qui, en général, évite la cétose. Parfois, cette surproduction suffit à ramener le sucre sanguin à la normale. Dans des cas plus rares, la stimulation de la sécrétion insulinique se termine par une dégénérescence et une nécrose des cellulesβ avec céto-acidose mortelle.
    Abstract: Zusammenfassung Es wird über elektronen- und lichtmikroskopische Untersuchungen an Pankreas-Inseln normaler und diabetischer Sandratten berichtet. Nach Verabreichung einer synthetischen Keks-Diät wurden eine Degranulation derβ-Zellen und Zeichen einer vermehrten Proteinsynthese beobachtet. Gleichzeitig mit dem Auftreten von Diabetes erfolgte Glykogeninfiltration, begleitet von einer Verdrängung der Zellorganellen und gelegentlicher Degeneration und Verflüssigung des Cytoplasmas. Diese Veränderungen wurden mit Blutzucker-und immunreaktivem Serum-Insulinspiegel in Zusammenhang gebracht. — Sandratten sind einzigartig in der Hinsicht, daß sie nicht in der Lage sind, das vermehrte Kalorienangebot der synthetischen Diät auf normale Art zu bewältigen. Sie reagieren mit Mehrproduktion von Insulin. Die gesteigerte Insulmausschüttung hält das Tier gewöhnlich frei von Ketose, bringt den Blutzucker gelegentlich auf normale Werte zurück, endet aber in seltenen Fällen mit einer Degeneration und Nekrose derβ-Zellen mit anschließender fataler Ketoacidose.
    Notes: Summary Ultrastuctural and light microscopic studies of pancreatic islets in normal and diabetic sand rats are reported. Following the institution of a synthetic chow diet, beta cell degranulation and enhanced protein synthesis were observed. With the appearance of diabetes, glycogen infiltration occurred, with displacement of cellular organelles and eventual cytoplasmic degeneration and liquefaction. These alterations were correlated with blood glucose and serum immunoreactive insulin levels. — The sand rats are unique in that they are not able to cope with the increased caloric load of synthetic chow. They respond by marked insulin production; an increase that usually maintains the animal free of ketosis, occasionally returns them to a euglycemic state, and may rarely be terminated by beta cell degeneration and necrosis with fatal ketoacidosis.
    Type of Medium: Electronic Resource
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    Springer
    Diabetologia 3 (1967), S. 212-221 
    ISSN: 1432-0428
    Keywords: Spontaneous Diabetes ; KK mice ; Japanese mice ; Obesity ; Growth hormone ; Pituitary ; Islets of Langerhans ; Pancreas ; Ultrastructure ; Beta cells ; Insulin in pancreas ; Sex and diabetes ; Adrenal cortex ; Zinc
    Source: Springer Online Journal Archives 1860-2000
    Topics: Medicine
    Description / Table of Contents: Résumé 1. Un état diabétique est démontré chez des souris d'une souche japonaise, la souche KK, mis en évidence par une élévation du sucre sanguin et par une diminution de la tolérance au glucose. 2. Le poids corporel des souris KK dépasse la normale; il s'agit d'une obésité modérée. 3. L'activité insulinique du pancréas et le contenu en hormone de croissance de l'hypophyse de souris KK dépassent ceux observés chez des souris C57BL. 4. Histologiquement, on trouve chez les souris KK une hypertrophie et une hyperplasie des îlots de Langerhans, une hypertrophie et une dégranulation des cellules B, une abondance de ribosomes et de réticulum endoplasmique des cellules B, un développement marqué de la région de Golgi des mêmes cellules, et une diminution du contenu en zinc des cellules insulaires. D'autres anomalies ont également été observées dans d'autres organes des souris KK, plus particulièrement pour l'hypophyse, le foie, les surrénales et la parathyroïde.
    Abstract: Zusammenfassung 1. Bei Mäusen des KK-Stammes (japanische Zucht) ist mit Bestimmung von Glucosetoleranz und Blutzuckerwerten ein diabetischer Zustand nachweisbar. 2. Das Körpergewicht von KK-Mäusen liegt über der Norm, und es besteht eine leichte Fettsucht. 3. Die Insulinaktivität des Pankreas und der Gehalt der Hypophyse an Wachstumshormon sind bei KK-Mäusen höher als bei C57BL-Mäusen. 4. Das Pankreas der KK-Mäuse zeigt auffallende Veränderungen, wie Hypertrophie und Degranulierung derβ-Zellen, reichlich Ribosomen und endoplasmatisches Reticulum in denβ-Zellen, sowie starke Ausbildung des Golgiapparates und Verminderung des Zinkgehaltes der Inselzellen. 5. Auch andere Organe (z.B. Adenohypophyse, Leber, Nebenniere und Nebenschilddrüse) der KK-Mäuse weisen Veränderungen auf.
    Notes: Summary This review demonstrates the following points:1. By glucose tolerance test and the determination of non-fasting blood sugar values, mice of KK strain (a Japanese strain) have been shown to be in a diabetic state. 2. KK mice have greater than normal body weights, and moderate obesity. 3. Pancreatic insulin activity and adenohypophyseal growth hormone content of KK mice are greater than those of C75BL mice. 4. The pancreas of KK mice presents many striking changes, such as the hypertrophy and hyperplasia of the islets, the hypertrophy and degranulation of B cells, the abundance of B cell ribosomes and endoplasmic reticulum, the enlargement of the Golgi areas of B cells, and the diminution of the zinc content of insular cells. 5. In other organs (eg. adenohypophysis, liver, adrenal and parathyroid) of KK mice, many changes are also observed. The above features of KK mice are discussed in relation to the presumed metabolic disorder in the mice.
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